Les Églises
Chrétiennes de Dieu
[CB050]
Le Dénombrement d’une Nouvelle Génération
(Édition
2.0
20050709-20061125)
À ce moment-là, la
première génération d'hommes de vingt ans et plus était
presque toute morte.
Il était temps pour que la
nouvelle génération soit dénombrée et prête pour les
batailles à venir qui attendaient les Israélites.
Cette étude a été adaptée à partir
des Chapitres 48 et 49 The Bible Story Volume
II par Basil Wolverton, publiée
par Ambassador College Press et couvre les chapitres 26 du
livre des Nombres jusqu’au chapitre 30 du livre de
Deutéronome dans la Bible.
Christian Churches of
God
Courriel:
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(Copyright ©
2005, 2006 Christian
Churches of God, éd.
Wade Cox)
(Tr. 2014, Rév. 2022)
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Le Dénombrement d’une Nouvelle Génération [CB050]
Nous continuons ici à
partir de l’étude
Balaam (No. CB049).
Le deuxième recensement
Après la peste, le
Seigneur a dit à Moïse et à
Éléazar, fils d'Aaron, le
sacrificateur,
“effectuez un recensement de
la communauté israélite
entière par familles
– tous ceux d’âge de vingt ans ou plus qui sont en
mesure de servir dans
l'armée d'Israël” (Nombres 26:1-4).
Cela faisait plus de
trente-huit ans depuis que
les gens avaient été
dénombrés. Pendant ce temps,
il y avait eu des
changements dans les tribus.
Maintenant qu'Israël était
manifestement sur le point
de prendre le contrôle de
Canaan, il était nécessaire
de connaître le nombre de
gens dans chaque tribu de
sorte que les dirigeants
sachent la grandeur de
l'armée, et ainsi la terre
pouvait être divisée d'une
manière qui serait équitable
à tous (Nombres 26:52-54).
Comme avant, les
hommes de la tribu de Lévi
ont été comptés séparément
et d'une manière différente
parce qu'ils n'étaient pas
dans l'armée et qu'ils
n'avaient aucun héritage,
contrairement aux hommes des
autres tribus (Nombres
1:47-49 ; 2:33).
Au moment de ce
deuxième recensement, pas un
seul homme qui a été
dénombré lors du premier
recensement n’était resté en
vie pour entrer dans la
Terre promise, sauf Caleb et
Josué, qui étaient fidèles à
Dieu (Nombres 14:29-30 ;
Deut. 1:34-35). Cependant,
Moïse, Éléazar et Itamar
(les fils d'Aaron) et
quelques autres Lévites qui
étaient vivants au moment du
premier recensement sont
restés en vie parce que les
Lévites qui étaient fidèles
n'ont pas été condamnés à
mourir dans le désert avec
les plus de 600000 soldats
qui se sont plaints quand
Dieu leur a dit d'entrer et
d’occuper la Terre Promise.
Les Lévites qui étaient
restés fidèles à Dieu quand
tout le reste d'Israël
adorait le veau d'or ont été
épargnés.
Sous Moïse, les
Lévites qui n'étaient pas
fidèles ont été tués par
leurs frères. C'était à
l'exception d'Aaron qui
avait en fait fabriqué le
veau à la demande des gens
(cf. aussi Ex. 32:25-29). Il
a été épargné, mais il n'est
pas entré dans la Terre
Promise. À cause de leur
fidélité, les Lévites ont
reçu des bénédictions
spéciales (Deut. 33:8-11).
Cependant, Dieu avait
été fidèle à l'autre moitié
de Sa promesse et avait
laissé vivants ceux qui
étaient âgés de moins de
vingt ans, quand Israël a
murmuré contre Lui (Nombres
14:31 ; 26:11). La Terre
Promise était maintenant en
vue quand Dieu termina
d’éliminer l'ancienne
génération de rebelles
condamnés, en laissant une
nouvelle génération d'hommes
qui étaient âgés de moins de
soixante ans.
Lorsque les nombres
du deuxième recensement
avaient été totalisés, ils
ont prouvé que certaines
tribus avaient augmenté et
certaines avaient diminué.
En n’incluant pas les
Lévites qui avaient
augmenté seulement de
mille, il y avait 1 820
hommes de moins (âgés de
plus de vingt ans) que le
premier recensement a
montré. Si Israël avait été
obéissant dans le passé, le
recensement aurait montré
une augmentation en des
milliers et des milliers de
gens dans toutes les tribus.
En outre, ils auraient
habité en toute sécurité et
en bonne santé dans Canaan à
ce moment-là (lire Nom.
26:5-65).
La loi des héritages
expliquée
Juste après que le
recensement a été
entrepris, cinq sœurs ont
rapporté un problème à Moïse
et à Éléazar. Elles ont
expliqué que parce que leur
père était mort, et parce
qu'elles n'avaient aucun
frère, l'héritage de leur
père et le nom seraient
perdus si elles n'étaient
pas autorisées à hériter à
la place des fils (Nombres
27:1-5). Cela était dû au
fait que les biens qui
étaient transmis aux
générations suivantes
pouvaient être réclamés
uniquement par ceux
enregistrés dans le
recensement. Ceux-ci
n'incluaient pas les femmes.
Moïse et Éléazar se
sont rendu compte qu'il
pourrait y avoir de nombreux
cas semblables parmi les
millions d'Israélites. Ils
ont estimé que la question
était suffisamment
importante pour la soumettre
à Dieu, surtout en ce
temps-là où Canaan était sur
le point d’être divisé comme
un héritage parmi les tribus
d'Israël.
Quand Moïse a porté
la cause devant Dieu, il lui
a été dit que les cinq
filles avaient bien agit en
parole, et que Sa Loi
concernant cette situation
devait être portée à la
connaissance du peuple.
“Que cela soit enregistré,” a informé le Seigneur à Moïse, “que si un homme meurt, sans avoir eu de fils, sa
propriété est transmise à
ses filles. S'il n'a aucune
fille, ce qu'il possède ira
à ses frères. S’il n’a aucun
frère, son héritage ira aux
frères de son père. Si son
père n'a aucun frère, ses
biens iront à ses parents
les plus proches”
(vv. 6-11).
Joshua (Josué) pour
succéder à Moïse
Peu de temps après
que cette nouvelle loi eût
été établie, le Seigneur a
dit à Moïse de monter au
sommet d'une des montagnes à
proximité d’Abarim de sorte
qu'il puisse voir la terre
que les Israélites devaient
posséder.
“Après avoir vu Canaan de loin, ta vie doit prendre
fin sur cette montagne”, a dit le Seigneur. “Tu ne dois pas entrer dans la Terre Promise à cause de ton attitude
désobéissante pour obtenir
de l'eau du rocher à Kadesh” (vv. 12-14). Ce décret
n'était pas une surprise
pour Moïse, puisque Dieu
avait refusé sa demande
d’entrer en Canaan, juste
après avoir conquis Galaad
et Basan (Deut. 3:4,10,
23-27).
Moïse s’y attendait,
et savait qu'il allait
bientôt mourir. Ce qui
importait le plus, c'était
comment Moïse serait
remplacé. Quand Moïse a
enfin parlé, cela était
avant tout dans son esprit.
Moïse a dit :
“Avant que j’arrive à la fin
de mes jours, je voudrais
savoir celui que tu as
établi comme homme à ma
place de sorte que ton
peuple ne soit pas comme des
brebis sans berger” (Nombres 27:15-17).
Par cette demande
Moïse ne voulait pas dire
qu'il sentait que Dieu ne
pouvait pas se passer de lui
ou quelqu'un à sa place.
Mais Moïse a compris que
Dieu travaillait toujours
dans une large mesure à
travers des êtres humains.
C’était donc naturel qu'il
veuille savoir par qui Dieu
prochainement conduirait
Israël, et établir cet homme
dans l’office.
“Joshua te succédera,” a dit le Seigneur à Moïse.
“Appelle l'assemblée pour
être témoin du transfert de
certains de tes honneurs sur
Josué (Joshua), devant le
sacrificateur Éléazar. Dès
le moment où Josué prend ta
place, il doit consulter
Éléazar, qui obtiendra des
décisions pour lui en
s’informant de l'Urim devant
le Seigneur. Je t’ai parlé
directement, mais ceci est
la façon dont Joshua [Josué]
doit recevoir des
instructions sur la façon de
mener Israël”
(vv. 18-21).
Plus tard, devant
Éléazar, et une foule énorme
d'Israélites, Moïse a mis
ses mains sur la tête de
Josué et lui a donné les
charges, tel que le Seigneur
l’a instruit (Nombres
27:22-23 ; voir aussi Deut
3:21-22, 28 ; 31:14-15, 23).
Bien que l’office de
Moïse ait été dans un sens
transféré à Josué (Joshua),
la pleine autorité n'allait
pas à Joshua aussi longtemps
que Moïse vivait. Moïse
était occupé pendant un
certain temps après cela
recevant des instructions du
Seigneur ayant à voir avec
les offrandes, les jours
saints et les lois civiles.
Toutes ces choses ont été
enregistrées et transmises
aux gens de sorte qu’elles
puissent être préservées
pour nous aujourd'hui
(Nombres 28, 29 et 30).
C'était durant ces moments
difficiles que les quatre
premiers livres de la Bible
ont été complétés par Moïse.
La vengeance sur les
Madianites
Trente-neuf ans
s'étaient écoulés depuis que
plus de deux millions
des gens d'Israël avaient quitté
l'Égypte pour échapper à
leurs oppresseurs (Nom. 1:1
; 13:1-3,26 ; Deut. 2:14.).
Puisqu'ils choisissaient
habituellement la voie du
péché, des milliers et des
milliers étaient morts à la
guerre et de la maladie.
Seuls quelques-uns des
nombreux hommes adultes qui
avaient quitté l'Égypte
étaient encore en vie après
avoir erré pendant de
nombreuses années à travers
les déserts et les montagnes
(Nombres 26:63-65).
Mais la mort et la
misère n’avaient pas prévalu
tout le temps. Chaque fois
que les gens avaient choisi
de se repentir de leurs
mauvaises manières et
avaient eu le bon sens de
vivre comme Dieu les avait
instruits, ils ont joui
d’une bonne santé, un état
d'esprit heureux et la
protection de Dieu (Deut.
12:29-32 ; 30:15-20). Et à
travers toutes les années,
Dieu leur a donné la manne
nourrissante et a
miraculeusement empêché
leurs vêtements et
chaussures de s’user (Deut.
8:4).
Alors le Seigneur a
dit à Moïse :
“Le temps est venu pour mon peuple d’attaquer les Madianites. Après cela,
tu seras recueilli auprès de
ton peuple”. C'était la manière à Dieu de dire à Moïse qu'il
allait bientôt mourir.
Moïse parla
immédiatement à ses
officiers, en leur demandant
de choisir un millier de
combattants de chaque tribu.
Ce total de douze mille
hommes formés et armés était
seulement une petite partie
de l'armée totale d'Israël.
Moïse les envoya dans la
bataille avec Phinées, fils
d'Éléazar, le sacrificateur,
qui prit avec lui des objets
du sanctuaire et des
trompettes pour la
signalisation (Nombres
31:3-6).
Les Israélites
auraient craint d'aller
contre l'armée des
Madianites avec une telle
petite force si Dieu n'avait
pas promis à cette nouvelle
génération qu'ils vivraient
pour traverser le Jourdain
pour entrer dans la Terre
Promise. Ils avaient enfin
appris à faire confiance à
Dieu et ils savaient que,
grâce à Son pouvoir cette
tâche serait possible.
Ils ont lutté contre
Madian, comme le Seigneur
l'avait ordonné à Moïse, et
ils ont tué tous les hommes.
Parmi leurs victimes se
trouvaient les cinq rois de
Madian. Ils ont également
tué Balaam, fils de Beor
avec l'épée. Les Israélites
ont capturé les femmes et
les enfants de Madian et ont
pris tous les troupeaux, le
bétail et les biens comme
butin. Ils ont brûlé toutes
les villes où les Madianites
s’étaient installés ainsi
que tous leurs camps. Ils
ont pris tout le butin du
pillage, y compris les gens
et les animaux, et les ont
tous ramenés à Moïse et
Éléazar, le sacrificateur,
et à l'assemblée d'Israël à
leur camp dans les plaines
de Moab, près du Jourdain,
en face de Jéricho (vv.
7-12).
Moïse était en colère
contre les officiers de
l'armée qui revenaient de la
bataille.
“Avez-vous laissé toutes ces
femmes vivre ?” leur a-t-il demandé. “Avez-vous oublié que ces femmes Madianites ont récemment attiré nos
hommes dans l'idolâtrie ? Ce
sont elles qui ont suivi les
conseils de Balaam, et Dieu a
mis une peste sur nous à
cause d'elles, et aussi Il a
dit qu'elles ne devraient
pas vivre.” Il leur dit alors de tuer tous les garçons et les femmes mariées, mais
de garder toutes les filles
célibataires qui n'avaient
pas eu de relations avec les
hommes (vv. 13-18).
Certains qui lisent
ce récit ne croiront pas que
Dieu permettrait un tel
massacre, sans tenir compte
de ce que les Écritures
inspirées nous disent.
Toutefois, le massacre des
femmes et des enfants de
Madian était un ordre
délibéré de Dieu. Ainsi, les
Israélites qui ont effectué
les tâches d'exécution de
ces idolâtres ont agi sous
les ordres de Dieu, qui
avait de bonnes raisons
d'utiliser les Israélites
pour anéantir une tribu
idolâtre. Ces gens qui
étaient fils d'Abraham et de
Keturah par Madian ont été
punis de leur idolâtrie et
péché comme Israël avait été
puni dans le désert. Quand
ils seront ressuscités dans
le jugement, avec d'autres
tribus et nations
pécheresses des siècles
passés, ils vivront sous le
gouvernement de Dieu, et pas
le leur. Et on leur
enseignera comment vivre
dans la justice et le
bonheur (Matthieu 12:41-42 ;
11:20-24 ; Ésaïe 65:19-25).
Eux et leur système ont été
détruits de sorte que ce ne
soit pas un achoppement pour
Israël et les autres
descendants d'Abraham.
Il est compréhensible
que certaines personnes
puissent considérer Dieu comme étant dur
pour ce qu'Il a ordonné de
faire aux Madianites. En
même temps, les gens veulent
croire le mensonge païen que
Dieu permet à des milliards
d'âmes d’être jetées dans un
tourment éternel dans un
lieu de feu (l'enfer),
simplement parce qu'elles
n'ont jamais entendu parler
de Dieu.
Contrairement à cet
enseignement non biblique,
Dieu donne à juste titre à
tout être humain, à un
moment ou un autre, la
possibilité d'apprendre le
bien à partir du mal et de
choisir de Le servir et de
Lui obéir. Pour la plupart
des gens, cette occasion ne
vient pas dans cette vie.
Elle viendra quand tous les
Madianites et autres qui
sont morts sans
l’opportunité pour le salut
seront ressuscités après le
Millénium. À ce moment-là,
les gens vivront ensemble
dans la paix et la
prospérité tandis qu'il leur
aura été donné le
privilège d’apprendre la
voie qui mène au salut
(Ézéchiel 37:1-14 ; Ésaïe
65:19-25).
Canaan devait être
purifié du mal et de
l'idolâtrie et il en sera
ainsi quand Christ viendra
de nouveau pour nettoyer les
nations de ce monde et
restaurer les Lois de Dieu.
Les lois de la quarantaine appliquées
Étant bien en dehors
des camps des Israélites,
c’était l’endroit approprié
pour Moïse de conseiller les
soldats qui avaient tué les
Madianites ou touché leur
corps.
“Tous ceux qui ont touché un mort doivent rester à
l'extérieur du camp pendant
sept jours. Aux troisième et
septième jours, vous et vos
captifs devez vous baigner
et laver vos vêtements et
tout ce que vous possédez
fait de peaux, de poils de
chèvre ou de bois qui a
touché un cadavre”
(Nombres 31:19-20).
Éléazar, le
sacrificateur, a ajouté à
ces directives en disant aux
soldats que pendant qu'ils
attendaient la fin de ces
sept jours, ils doivent
purifier tout l'équipement
de combat et le butin en or,
argent, laiton, fer, étain
ou de plomb. Cela signifiait
que les objets faits de ces
métaux devaient passer au
feu pour tuer la vermine et
les germes, et dans certains
cas même être fondus. En
outre, ils devaient être
lavés dans l'eau purifiante
spécialement préparée. Rien
ne pouvait être amené dans
les camps des Israélites à
moins que cela n’ait été
purifié (vv. 21-24). Si tous
les gens aujourd'hui se
conformaient à de telles
règles strictes d'hygiène et
de quarantaine, les maladies
contagieuses ne se
propageraient pas aussi
facilement qu’elles le font.
Il y eut une grande
célébration dans les camps
israélites quand enfin les
soldats victorieux étaient
disposés à retourner dans
leurs foyers et leurs
familles. Mais maintenant,
il y avait le problème de la
façon de répartir
équitablement les biens
capturés. Heureusement, cela
n’est pas resté un problème,
parce que le Seigneur a
parlé à Moïse de cette
question. Les gens n'ont pas
utilisé leur propre raison
humaine.
Partage du butin
“Divisez ce qui a été pris en deux parties égales,”
a dit le Seigneur à Moïse.
“Une partie doit aller aux
soldats qui l'ont rapportée.
L'autre moitié doit être
répartie parmi le peuple. De
la première partie, pour les
soldats, une part sur cinq
cents doit aller à Éléazar,
le Souverain Sacrificateur
pour les offrandes et pour
suppléer aux besoins du
ménage. De la seconde
moitié, pour le peuple, une
part sur cinquante doit
aller aux Lévites.”
Joshua et ses
officiers ont fait un compte
immédiat des captifs et du
bétail qui étaient venus de
la campagne contre Madian.
Il s'est avéré que les
soldats avaient apporté 32
000 femmes Madianites, 675
000 ovins et caprins, 72 000
bovins et 61 000 ânes.
Des femmes
Madianites, 32 (une sur
chaque 500 de la moitié des
soldats) sont allées à
Éléazar et ses assistants.
Elles devaient être
utilisées comme domestiques
du ménage et des aides aux
femmes d'Éléazar et des
sacrificateurs. Dans le même
temps, 320 Madianites (un
sur 50 dans la moitié de la
congrégation) sont allés aux
Lévites pour être serviteurs
de leurs familles. Ceux-ci
devaient être appelés les
Néthiniens (provenant de
Nathan signifiant
donner). Ils sont restés
une classe discrète d’aides
dans le Temple pendant des
siècles. Ainsi, ils
représentaient le salut
étant des nations, avant
même l'entrée à Canaan et la
construction du Temple (cf.
aussi 1Chron. 9:2).
Quant aux ovins et
caprins, 675 d'entre eux
sont allés aux
sacrificateurs, et 6750 sont
allés aux Lévites. En
matière de bovins, 72 sont
allés aux sacrificateurs, et
720 sont allés aux Lévites.
Pour les ânes, 61 d'entre eux
sont allés aux
sacrificateurs, et 610 sont
allés aux Lévites pour le
service en tant que
bêtes de somme (Nombres
31:25-47).
Dès que ces questions
ont été élaborées, les
dirigeants responsables des
soldats dans la lutte contre
Madian vinrent à Moïse pour
lui rappeler qu’un contrôle
soigneux de leurs hommes
avait prouvé ce qui semblait
évident juste après la
bataille - que pas un seul
d'entre eux n’avait été
perdu. Dieu avait prouvé
qu'Il était capable de
protéger chaque individu de
ceux qu'Il avait promis de
faire traverser le Jourdain
et entrer dans la Terre
Promise (vv. 48-49).
“Nous avons pris un grand butin qui n'a pas été
inclus dans le décompte des
captifs et du bétail,” a expliqué un porte-parole.
“Parmi les choses il y avait des
bijoux de toutes sortes
façonnés de pierres
précieuses, de l'or et de
l'argent. Pour montrer notre
gratitude à Dieu de nous
avoir épargnés, nous
t’apportons maintenant une
partie de ces objets de
valeur.”
Moïse et Éléazar ont
accepté avec reconnaissance
l'offrande
– l'or seul qui valait des centaines de milliers de
nos dollars ou livres
– et ils l’ont pris dans le Tabernacle comme un mémorial devant Dieu (vv.
50-54).
Après avoir conquis
les nations riveraines de
Canaan sur le côté est du
Fleuve le Jourdain et la Mer
Salée (Morte), les
Israélites étaient bien
conscients de l'état de
toutes les parties de ce
territoire. Une grande
partie de la terre à l'est
était aride, mais il y avait
des régions comme Jahzer et
Galaad où l'herbe poussait
épaisse et verte, et où il y
avait beaucoup d'arbres
d'ombrage, en particulier
les chênes.
Les tribus de Transjordanie
Les tribus de Ruben
et de Gad, s’étant
spécialisées depuis
longtemps dans l'élevage de
moutons et de bétails, ont
été grandement
impressionnées par ces
terres de bon pâturage.
Elles ont estimé qu'il ne
pouvait y avoir d’autres
pâturages plus verts et plus
vastes sur le côté ouest de
la Jordanie. Par conséquent,
leurs chefs vinrent à Moïse
et Éléazar pour demander
s'ils pouvaient rester à
l'est de la Jordanie pour
élever leurs troupeaux et
bétails (Nombres 32:1-5).
Moïse a été
bouleversé par cette
demande. Il a estimé que ces
deux tribus pourraient
l’utiliser comme une excuse
pour éviter d’aller avec les
autres tribus pour chasser
leurs ennemis du territoire
à l'ouest de la Jordanie. Et
il s’est demandé si elles ne
montraient pas un manque de
gratitude envers Dieu pour
la terre qu'Il leur avait
promise sur le côté ouest du
Fleuve Jourdain.
“Votre volonté de rester ici me rappelle ce que vos
pères ont dit il y a
quarante ans,” répondit Moïse, “quand ils ont refusé d'aller en Canaan parce qu'ils craignaient que les
habitants pourraient les
faire périr. Alors Dieu les
a envoyés dans le désert
pour errer et mourir. Cette
demande de votre part est un
mauvais exemple pour les autres
tribus et pourrait les faire
craindre de traverser le
Jourdain. Si elles aussi
choisissent de ne pas
traverser le fleuve, Dieu
pourrait de nouveau être si
en colère qu'Il pourrait
nous détruire tous” (vv. 6-15).
Les dirigeants de
Ruben et de Gad ont reconnu
la sagesse des déclarations
de Moïse, mais puisque
c'était de bons pâturages,
ils avaient beaucoup à dire
avant d'abandonner. Après
une réunion hâtive entre
eux, ils ont de nouveau
approché Moïse et Éléazar.
“Nous ne sommes pas rebelles,” ont-ils expliqué,
“et nous ne voudrions pas
décourager nos frères ou
apporter à Israël la
désunion. Nous pouvons
rapidement reprendre les
villes vacantes à partir
desquelles nous avons
récemment chassé les
Amoréens, puis les intégrer
dans des forteresses pour
nos femmes et nos enfants,
et construire des bergeries
pour notre bétail. Sachant
que nos gens et le bétail
seraient en sécurité, nos
soldats pourraient alors
retourner ici et traverser
le Jourdain à l'avant des
autres tribus pour mener
l'attaque et aider à vaincre
nos ennemis. Nous ne
reviendrons pas à nos
maisons jusqu'à ce que les
autres tribus soient
établies en toute sécurité
de l'autre côté du Jourdain.
Nous ne demanderons pas la
terre de l'autre côté, mais
serons satisfaits avec la
terre de pâturage ici”
(vv. 16-19).
Cette explication a
mis une lumière différente
sur la question dans la
pensée de Moïse. Après tout,
si ces tribus préféraient
cette terre que Dieu avait
donnée à Israël, Moïse ne
pouvait penser à aucune
bonne raison de ne pas la
leur donner du moment que
toute l'armée d'Israël
allait vers l'ouest pour
prendre Canaan.
“Si vous allez faire comme vous le dites,” leur a dit Moïse,
“alors ces régions que vous
désirez deviendront vos
héritages. Mais soyez
avertis que si vous ne
parvenez pas à aller avec le
reste du peuple et à
combattre jusqu'à ce que les
habitants de Canaan soient
entièrement chassés, alors
vous aurez à payer pour un
grand péché (Nombres
32:20-24 ; Deut. 3:18-20).
"Nous ne manquerons
pas d'y aller," ont promis
les chefs à Moïse.
Puisqu'il s'est rendu
compte qu'il ne vivrait pas
pour traverser le Jourdain,
Moïse a instruit Éléazar,
Josué et les chefs des
autres tribus pour s'assurer
que le temps venu, ils
veillent à ce que ces tribus
qui avaient pris le
territoire oriental soient
fidèles à leurs promesses.
Autrement, elles devaient
abandonner les terres
qu'elles désiraient, et
devraient obtenir leur
héritage à l'ouest du
Jourdain (Nombres 32:25-30).
Ainsi, Ruben et Gad
étaient les premières
familles d'Israël à recevoir
leur possession de Dieu,
bien que la moitié de la
tribu de Manassé ait aussi
reçu rapidement
l'autorisation de
s'installer au nord de la
région prise par Gad.
Les deux tribus et
demie étaient si désireuses
d’arriver à leurs terres
qu'elles se sont mises en
route aussitôt que possible.
Les gens de Ruben ont tourné
vers l'est et le sud. Les
fils de Gad et de Manassé
sont allés vers le nord
(Nombres 32:31-33 ; Deut.
3:1-17).
Ils ont travaillé dur
pour reconstruire rapidement
des bâtiments ruinés des
villes ravagées et pour les
remettre dans des
forteresses. Et puisqu’ils
avaient promis, ils ont mis
en place des abris et enclos
pour leur grand nombre de
troupeaux (Nombres
32:34-42). Avec leurs
familles et le bétail dans
les forteresses sûres, les
deux tribus et demie
n'auraient pas besoin de
laisser de nombreux hommes
derrière pour s'occuper
d'eux.
Pendant ce temps,
dans les plaines de Moab,
Dieu était en train de
donner plus d'instructions à
Israël par Moïse, dont la
vie devait bientôt être
prise (Nombres 33:50-56).
Les Israélites ont
continué à camper sur les
plaines à l'est du Jourdain
pendant plusieurs jours.
L'eau était abondante et il
y avait une abondance
d'herbe pour les animaux. La
vie était aussi un peu plus
agréable pour les gens en
raison de l'ombre des arbres
dans cette région.
Pendant ce temps, les
gens n’étaient pas assis à
ne rien faire. Outre leurs
fonctions ordinaires,
c’était quelque peu une
tâche de s'adapter aux
milliers de captifs de
Madian, prendre soin des
animaux du bétail ajouté,
purifier le butin de guerre
et remodeler une grande
partie de cela et aiguiser
et réparer les outils et les
armes de guerre usés ou
brisés.
Il fallait du temps
pour faire tout cela, mais
le but principal de Dieu, en
permettant au peuple de
rester si longtemps à cet
endroit, était de leur donner
beaucoup d'instructions, à
travers Moïse, pour leurs
conseils et avantages. On
leur a fait connaître que
quand ils traverseraient le
Jourdain pour aller en
Canaan à l'ouest, c’était
leur devoir d'exécuter les
habitants là et de détruire
toutes leurs idoles, les
autels païens, les tours et
les bosquets où ils
brûlaient certains de leurs
enfants dans le feu et sinon
adoraient leurs dieux païens
(Nombres 33:50-53 ; Lév.
18:21, 24-29 ; Deut. 7:1-5 ;
9:4 ; 12:29-32 ; 18:9-14).
La division de la terre
La Terre Promise
devait être divisée
équitablement parmi les neuf
tribus et demie, selon leurs
nombres. Toutefois, si les
Israélites ne réussissaient
pas à vaincre les habitants
de Canaan, Dieu a averti
qu'Israël souffrirait.
“Si vous épargnez les Cananéens,” a dit le Seigneur,
“ils vous donneront beaucoup
de problèmes aussi longtemps
qu'ils resteront. En outre,
je traiterai avec vous comme
je prévois de traiter avec
eux. Cela signifie que vous
risquez de perdre votre vie
aussi bien que la terre”
(Nombres 33:54-56).
Villes pour les Lévites
Le Seigneur a alors
défini les limites de la
Terre Promise et a nommé un
comité pour superviser la
distribution de la terre
(Nombres 34). Moïse fut
instruit de dire aux gens
qu'ils doivent donner 48
villes aux Lévites, qui ne
devaient recevoir aucune
terre par héritage. Ceci ne
devait pas nécessairement
être de grandes villes, mais
chacune devait être entourée
d'une zone de plus d'un mile
de large, s’étendant à 1000
coudées (environ 1500 pieds)
du mur dans toutes les
directions. Dans ces
banlieues les Lévites
pouvaient planter des
jardins, des vergers et des
vignobles et de la place
pour garder leurs troupeaux
et bétails (Nombres 35:1-5).
Villes de refuge
Six de ces villes -
trois de chaque côté du
Jourdain - devaient bientôt
être nommées
“villes de refuge.”
En plus d'être des centres
d'habitation des Lévites,
ces six villes devaient être
pour la protection de
quiconque tuait
accidentellement une
personne. Cela était
nécessaire parce que les
parents en colère ou les
amis proches du défunt
pouvaient essayer de tuer
l'homme qui a provoqué sa
mort. Par exemple, si deux
hommes étaient en train de
construire un hangar, et un
homme déplaçait inopinément
une lourde poutre de sorte
qu'elle tombe et tue l'autre
homme, l'homme qui a déplacé
la poutre devait fuir
immédiatement à la plus
proche des six villes, où il
serait protégé de toute
personne qui pourrait exiger
sa vie comme une affaire de
vengeance.
Par ailleurs, si
l'homme a méchamment déplacé
la poutre dans le but de
tuer son partenaire de
travail, il avait toujours
droit à la protection
temporaire de l'une des six
villes, pour qu'il puisse
être assuré d'un procès
équitable.
Quel que soit le cas,
l'homme serait jugé par les
autorités. S'il était
reconnu coupable, il était
soit tué ou permis de tomber
dans les mains de ceux qui
s’étaient fixés de venger la
personne morte. S'il était
trouvé innocent, il devait
toujours rester dans la
ville pour sa propre
protection, jusqu'à la mort
du Souverain Sacrificateur.
Pendant ce temps, s’il
s’aventurait en dehors de sa
ville de protection, et
était trouvé par un vengeur,
c'était la fin de sa
protection. Il ne devait y
avoir aucune prison en
Israël.
Moïse a maintenant
assigné trois villes à des
fins de refuge à l'est du
Fleuve Jourdain. Elles
incluaient Betser dans la
plaine des fils de Ruben.
Puis il y avait la ville de
Ramoth pour les fils de Gad
et Golan pour Manassé. Les
trois autres villes de
refuge devaient être mises
de côté plus tard par Joshua
(Josué) (Nombres 35:6-34 ;
Deut. 4:41-43 ; Deut.
19:1-13 ; Jos. 20).
À cette époque, Moïse
a reçu de nombreuses
instructions et des règles
et des rappels du Seigneur.
Il les a transmis fidèlement
au peuple comme ils sont
venus à lui. Afin qu'ils
comprennent mieux les
questions, Moïse leur a
donné un compte rendu
détaillé de ce qui s'était
passé depuis qu'ils avaient
quitté le Mont Sinaï quatre
décennies auparavant. Le
livre du Deutéronome est un
enregistrement de ces
évènements.
Au cours du long
récit, Moïse a révélé au
peuple que Dieu ne lui
permettrait pas d'entrer en
Canaan avec eux à cause de
sa mauvaise conduite, quand
il avait frappé le rocher
pour obtenir de l'eau.
“Plus tard,” leur a dit Moïse,
“J'ai demandé à Dieu de me pardonner et de me
permettre d’entrer en
Canaan. Il a refusé de me
permettre d'y aller, mais
m'a dit que je pouvais voir
une grande partie de la
terre à partir d'une haute
montagne, et que là j’allais
mourir”
(Deut. 3:23-28).
L’obéissance commandée
Moïse a ensuite
averti les gens que Dieu ne
tolérerait jamais les
infractions de la loi sans
punition. Il leur a aussi
rappelé que Dieu était plus
clément que ce qu'ils
pouvaient imaginer, et qu'Il
ne les abandonnerait jamais
ou les détruirait aussi
longtemps qu’ils gardaient
leur alliance d’observer Ses
Lois (Deut. 4:30-31).
Parmi les questions
mentionnées par Moïse au
profit d'Israël était le
rappel strict à observer les
Sabbats annuels. Ces jours
saints ont commencé en
Égypte avec la Pâque. Ils
ont ensuite été expliqués
plus tard plus en détail au
peuple au Mont Sinaï.
L’observance de ces jours
saints devait être un signe
perpétuel entre Dieu et
Israël, tout comme
l'observance du Sabbat
hebdomadaire devait être une
alliance éternelle (Deut.
12:1-14 ; 16:1-17 ; Ex.
31:17).
Il a également été
précisé que, outre la
première dîme (un dixième de
l'augmentation qui doit être
payé pour les frais de
l'œuvre de Dieu) les
Israélites devraient mettre
de côté une deuxième dîme
(dixième) pour être utilisée
dans l’observance des Fêtes
de Dieu, qui sont à observer
à l’extérieur de nos portes
ou de l'endroit où nous
vivons habituellement (Deut.
12:17-19 ; 14:22-27).
Aujourd'hui, comme
alors, les gens de l'Église
de Dieu utilisent cette
deuxième dixième de leur
revenu pour observer les
festivals - à l’endroit que
l'Église désigne. Jérusalem
est venue pour être le lieu
principal dans l'ancien
Israël, après que le Roi
David l’a conquise en 1005
AEC (avant notre ère), et il
en sera ainsi de nouveau
lorsque Christ reviendra
d’ici quelques années
(Zacharie 14:16-19).
Le fait de mettre à
part fidèlement la deuxième
dîme rend possible au peuple
de Dieu d’apprécier les
Fêtes et de retourner à
leurs maisons et à leur
travail bien mieux préparés
à vivre plus heureux et plus
proches de leur Dieu.
Dieu ordonna aussi à
ce que la deuxième dîme
(dixième) soit mise à part
pour une utilisation très
particulière dans la
troisième année du cycle de
Sabbat. Cette deuxième dîme
(dixième) exclusivement dans
la troisième année d'un
cycle de sept ans devait
être collectée. Elle était
donnée à l'administration du
Temple pour aller aux
pauvres parmi les Lévites,
les veuves, les orphelins de
père et étrangers pauvres,
afin qu'ils puissent aussi
observer les Lois et les
Fêtes de Dieu (Deut.
14:28-29 ; 26:12).
En ces jours, le
chrétien obéissant met de
côté sa dîme, en plus de ce
qui est requis dans les
taxes et autres. Dieu le
rend possible. Nombreuses
sont les familles qui ont
bénéficié de meilleurs
revenus et d’autres
avantages financiers depuis
qu’elles ont commencé à rendre
la dîme.
Un bon gouvernement civil
Beaucoup d'autres
questions ont été apportées
au peuple en ce moment-là,
parmi lesquelles étaient les
suivantes :
Moïse a répété ces paroles solennelles de Dieu :
“Vous, Israël, devez choisir entre les bénédictions
et les malédictions de votre
Créateur. L'obéissance à mes
Lois apportera de
merveilleuses bénédictions
de prospérité, la délivrance
des maladies, le succès dans
tout ce que vous
entreprenez, une abondance
d’enfants et d’animaux en
bonne santé, beaucoup de
pluie et de l'eau, de bonnes
récoltes sans défaut ou
peste, des maisons
confortables et une
protection contre les
accidents et vos ennemis. Je
vous ferai la tête de toutes
les nations, et elles vous
craindront et vous
respecteront. Vous mènerez
une vie longue et heureuse,
et ainsi également votre
descendance sera heureuse,
saine et prospère loin dans
l'avenir.
En revanche, si vous
refusez de vivre selon les
Lois que je vous ai rendues
explicites, je vais amasser
les malédictions sur vous.
Vous cesserez de prospérer.
Toutes sortes de maladies
viendront sur vous, et vous
échouerez dans tout ce que
vous vous apprêterez à faire.
Vos enfants seront malades,
mais la famine vous conduira
à les manger. Votre cheptel
tombera malade et mourra de
maladie ou par manque d'eau
et d'herbe. Le sol deviendra
dur, et vos cultures seront
consumées par la rouille et
la peste. Vous serez
malades, craintifs et dans
la misère partout où vous
irez. Vous deviendrez comme
dépravés tels que les
animaux et les fous, et les
accidents mortels vous
atteindront où que vous
soyez. Vos maisons
deviendront sales, de
misérables taudis. Vous
deviendrez la dernière et la
plus faible de toutes les
nations, et les ennemis
cruels vous tueront. Ceux
d'entre vous qui ne sont pas
mis à mort seront emmenés en
captivité et dispersés parmi
les nations comme des
esclaves misérables”
(Deut. 28 et 30:15-20).
Voir aussi l’étude
Les Bénédictions
et les Malédictions
de Deutéronome 28 (No.
CB068).
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