Les Églises Chrétiennes de Dieu

[B9]

 

 

 

Création versus Évolution [B9]

 

(Édition 3.0 20070728-20071122-20080609)

 

Dans cette étude nous regarderons la question de la Création contre l'argument de l'Évolution.

 

    

Christian Churches of God

PO Box 369,  WODEN  ACT 2606,  AUSTRALIA

 

Courriel: secretary@ccg.org

 

 

(Copyright © 2007, 2008 Wade Cox)

(Tr. 2010, rév. 2020)

 

Cette étude peut être copiée et distribuée librement à la condition qu'elle le soit en son entier, sans modifications ni rayures. On doit y inclure le nom, l'adresse de l’éditeur et l'avis des droits d'auteur. Aucun montant ne peut être exigé des récipiendaires des copies distribuées. De brèves citations peuvent être insérées dans des articles et des revues critiques sans contrevenir aux droits d'auteur.

 

Cette étude est disponible sur les pages du World Wide Web :
http://logon.org/ et http://ccg.org/

    

 Création versus Évolution [B9]

 

Ce qui s’est avéré si particulièrement destructif à l'argument de la Création est la position présentée que les dinosaures se promenaient dans l'Arche avec les autres animaux sauvés par Noé. Un tel groupe, le Creation Science Evangelism Ministry établi en 1989 par Kent Hovind, est particulièrement inquiétant. Hovind a établi un site internet appelé Docteur Dino à la fin des années 1990 et a commencé à produire des articles et des informations dont il a profité financièrement. Il détient trois diplômes d'écoles ou d’universités non-accréditées et se catégorise lui-même comme Docteur d’après un de ces diplômes.

http://en.wikipedia.org/wiki/Kent_Hovind

 

Les évolutionnistes ont profité de son manque de qualifications d'éducation formelle et de sa position soutenant que des dinosaures se promenaient avec les humains sur l'Arche, comme preuve de l'irrationalité de la position Créationniste. Ces gens sont en train de causer d’importants dommages à l'argument Créationniste contrairement à la théorie de l'Évolution qui est en soi une théorie religieuse manifestement discontinue et philosophiquement absurde.

 

Apparemment, une preuve anecdotique de la survie d'animaux du genre plésiosaure et d'autres animaux semblables au dinosaure aurait été rapportée par la découverte de peintures rupestres autochtones en Australie. Cela est supporté par des observations européennes jusqu'à la fin des années 1970. Une source rapportée est la Rivière Hawkesbury au nord de Sydney (voir le site à http://www.mysteriousaustralia.com/aboriginal_rockkart.html (la photo supérieure : celui du bas semble être un dingo ou thylacine)). Le plésiosaure était commun partout en Australie et nous avons trouvé un spécimen complet fossilisé en opale dans la mer intérieure qui existait près des champs d'opale de Lightning Ridge. Les rapports mentionnent des créatures entre 9 mètres et 18 mètres (de 30 pieds jusqu’à 45-60 pieds) (un était prétendument de 180 pieds ou 54 mètres) de longueur avec une tête de serpent géante et un énorme corps qui forment deux bosses peut-être à cause du très long cou qui a été décrit comme environ 61 cm d'épaisseur (2 pieds). Ils ont une grande tête de serpent entre 60 cm et 1.5 mètres de largeur et plus d'un mètre environ de longueur et plus long que la largeur. La queue est d’environ quatre mètres (15 pieds) de longueur. Il est appelé le Mirreeulla dans la langue autochtone locale Dharuk. Il est appelé Yarru (ou Yarrba) par les gens de tribus Kuku Yalanji de l’Extrême Nord du Queensland, où on dit qu’il occupe les grands bassins d’eau de la région. Il y a une légende à Victoria d'une créature semblable mais avec quatre pattes, mais qui n'a jamais été confirmée. Les longues périodes de temps entre les rapports oculaires peuvent indiquer une période d'hibernation prolongée ou une créature des mers profondes qui fait surface seulement rarement. Les rapports d'animaux du Queensland au Lac Galilée et au Cap Sandy, Île Fraser et en Australie Occidentale entre Carnarvon et Broome, aussi bien que le Hawkesbury sont détaillés à http://uqconnect.net/~zzlaueli/serpents.htm.

 

Les rapports oculaires de l'Île Fraser dataient de plus de huit ans tant par les Autochtones que par les Européens. Il a été aperçu et attiré au Cap Sandy par Mlle Lovell, en juin 1890. Il a été nommé Moha Moha par les Aborigènes le nommant le Camarade Impertinent Meebee, signifiant la tortue dangereuse, car il a attaqué leurs camps et les a forcés à se déplacer vers l’intérieur en huit ans. On lui a donné son nom scientifique officiel propre Chelosauria lovelli (le lézard tortue de Mlle Lovell). L'histoire a été publiée dans le Journal anglais, Land and Water. Ces rapports oculaires et ceux en WA dataient surtout de la fin du 19ème siècle, mais certains dataient seulement d’environ vingt ans.

 

Le Pin Wollemi a été trouvé dans un parc national en Nouvelle-Galles du Sud, il n’y a pas si longtemps et jusqu'à ce qu'il ait été trouvé, on le pensait disparu avec les dinosaures, prétendument, il y a plus de 63 millions d'années. L'auteur a personnellement observé un ancien Hêtre Antarctique sur une arête des forêts tropicales humides de Wyangarie sur le côté de la frontière du Nord de la Nouvelle-Galles du Sud (NSW).

 

Il y a très peu de preuves validées à l’appui des dinosaures coexistant avec des humains sur la terre. Ces fossiles vivants rapportés sont des créatures de mer ou amphibies et comme telles, elles pourraient avoir survécu au Déluge dans cet environnement marin, aussi bien que le cœlacanthe attrapé il y a pas si longtemps dans des eaux sud-africaines et qu’on pensait disparu depuis le même temps. Il y a un rapport de la coexistence d’humains et de dinosaures mais il n'est pas corroboré par aucun autre rapport. Il est trouvé à http://www.answersingenesis.org/creation/v18/i4/dinosaurs.asp

 

L'article est de Sergei Golovin et concerne une découverte au Turkménistan par une équipe russe. Golovin est rapporté en tant qu’un diplômé de l'Université d'État de Simferopol en Ukraine. Ses spécialités sont l'optique de laser et la géophysique et il a fait breveter des inventions dans ces domaines. Ses recherches ont été publiées dans les journaux de l'Académie de Sciences de l'URSS et en 1992, il a fondé le Centre Scientifique Chrétien (créationniste) en Ukraine.

 

Golovin dit que cela a été rapporté par le journaliste Alexandre Bushev dans l'édition du 31 janvier 1995 de Komsomolskaya Pravda, un journal populaire de l'ancienne URSS. Il est rapporté avoir voyagé au plateau près du village de Khodga-Pil au Turkménistan et avoir vu les empreintes fossilisées de dinosaures et d’humains ensemble.

 

L'article annoncé dans Réponses en Genèse (Answers in Genesis) affirme : “Bushev a dit que chaque mètre de la grande surface du rocher d’un demi kilomètre est couvert par des empreintes de pas à trois orteils ‘fait par des dinosaures géants lors de leur promenade du matin ou du soir le long de la rive de l’ancienne mer’. Le plateau turkmène contient plus de 3.000 empreintes de pas.

 

Bushev a dit que le scientifique turkmène Kurban Amanniyazov considère ce plateau Jurassique être âgé d’au moins 200 millions d'années.

 

‘Mais le fait le plus mystérieux’, a ajouté Bushev, ‘est que parmi les empreintes de pas de dinosaures, des empreintes de pas de pieds humains nus ont été trouvées !’ Il a suggéré que, parce que 'nous savons’ que les humains sont apparus beaucoup plus tard que les dinosaures, il y avait un extraterrestre ‘qui a marché dans son maillot de bain le long de la rive de la mer’.

 

Ce rapport d’empreintes de pas de dinosaures et d’humains sur le Plateau Kughitang-Tau n'est pas le premier. La nouvelle a été annoncée aux lecteurs de la version anglaise de Nouvelles de Moscou en 1983 (No. 24, p. 10). C'était pendant une période où les communistes contrôlaient strictement l'aspect idéologique de toutes les publications, donc un article de cette sorte pourrait être publié seulement avec le commentaire officiel d'un représentant de la science d’État officielle.

 

Le commentaire qu'ils ont donné à ce moment-là était :

‘Qui sait, mais peut-être que nos très lointains ancêtres ont côtoyé des dinosaures ?

‘“La science pourra probablement répondre affirmativement dans l'avenir”, a dit le Professeur Kurban Amanniyazov, le chef de l'expédition. “Cependant, à présent, nous n'avons pas assez de preuves pour l’affirmer. Nous avons des empreintes qui ressemblent à des empreintes de pas humaines, mais jusqu'à présent, nous n'avons pas réussi à déterminer, avec une quelconque véracité scientifique, à qui elles appartiennent, après tout.

‘“Si nous pouvions prouver qu'elles appartiennent vraiment à un humanoïde, alors cela créerait une révolution dans la science humaine. L'humanité ‘deviendrait plus vieille’ de trente fois et son histoire serait âgée d’au moins de 150 millions d’années ?”’

Un des problèmes que nous avons aussi est que d'autres rapports d’empreintes de pas de dinosaures et d’humains ensemble ont été démontrés comme étant des empreintes de dinosaures érodées. Les évolutionnistes écartent ces revendications en principe parce qu'elles ne cadrent pas avec la théorie. Les découvertes doivent être corroborées et adéquatement documentées. Si cette affirmation est vraie, alors nous disposons un rapport de dinosaures terrestres coexistant avec des humains, mais de quel type ? Il est certain que l'âge des dinosaures devrait être réduit considérablement et que l'âge de détermination des strates de rocher devrait aussi être réduit, comme nous le verrons plus loin.

 

Rebecca Driver, une journaliste indépendante avec un diplôme en Crypto-zoologie, est rapportée à http://www.answersingenesis.org/creation/v21/i1/aborigines.asp comme traitant de mythes autochtones australiens et de légendes et les rapports européens actuels de leurs observations. Elle rapporte des légendes selon lesquelles il existait autrefois des kangourous carnivores qui ressemblaient peut-être à la petite bettongie rousse du type kangourou qui a été observée mâchant des os d’animaux et volant des œufs de poulet.  La bettongie de terrier apparentée est reconnue pour manger des carcasses de mouton. Elle affirme, “Dans le passé cependant, qu’il y avait des ‘bettongies géantes’ qui  pesaient environ 70 kilogrammes et qui mesuraient six ou sept pieds de haut [soit 1,8 à 2,1 m].” Elle les identifie comme des kangourous de type propleopus.

 

Elle dit : “leurs dents laissaient plus penser à celles des carnivores qu'à celles d’herbivores. Leurs incisives inférieures étaient pointues et étaient horizontalement alignées, ce qui en faisait de véritables armes perçantes. Les prémolaires étaient aussi formées comme de grandes lames 'de scie circulaire', fortement dentelées et conçues pour couper des produits alimentaires coriaces. Il y a peu de doute que le Propleopus oscillans et le P. chillagoensis étaient les loups de la famille du kangourou.”

 

Les évolutionnistes prétendent qu'ils se sont éteints il y a plus de 20 000 ans avec le Diprotodon des Cavernes Jenolan. Ainsi, selon le raisonnement évolutionniste, les Autochtones seraient présents sur le continent depuis plus de 20 000 ans pour avoir ces légendes, autrement nous devons réduire la chronologie. La probabilité que la légende a été préservée intacte au cours de ce temps est fortement improbable. La conclusion doit être qu'ils se sont éteints dans le souvenir des aborigènes modernes, qui les ont probablement tous tués. Nous avons toujours des plantes qui se sont adaptées pour échapper au Diprotodon en Australie. On devrait aussi noter que quelques mythes Autochtones sont issus d’entités spirituelles et non pas physiques comme c’est évident des mythes comme le Serpent Unggud examiné dans le texte du Chapitre 1 du Mysticisme à http://www.ccg.org/french/s/B7_1.html. Cependant, les rapports d’observation d'animaux connus réels ou de reptiles doivent être pris plus sérieusement. Le contre-argument serait logiquement que les aborigènes ont rapporté des découvertes squelettiques mais ont rapporté des observations de la réalité vivante. Ces rapports doivent être plus exhaustivement évalués.

 

Causalité

 

Il y a une analyse de la Causalité Singulière et la position logique de l'Évolution et de la Bible dans l’étude La Création : de la Théologie Anthropomorphique à l'Anthropologie Théomorphique B5 et est publiée à

http://www.ccg.org/french/s/B5.html.

 

Les philosophes sont les agents policiers des universités et comme tels, ils sont en mesure d'abstraire et d’examiner n’importe quel argument dans n’importe quelle discipline pour trouver sa logique, sa vérité et sa validité. L'évolution est inacceptable parce que ses arguments sont sans fondements et faux. Il est déplorable de constater les piètres efforts faits par les philosophes en général pour examiner ce que sont les théories standard enseignées dans les institutions de hautes études, telles que l'Évolution et le Réchauffement Global, qui sont toutes deux fausses aussi bien qu’illogiques. Ces arguments sont fondés sur de fausses hypothèses à des fins politiques. Les philosophes ont un devoir d'examiner et d’exposer ces fausses hypothèses mais la majorité a été trop faible pour le faire.

 

Quelques arguments des Créationnistes de la Jeune Terre (Young Earth Creation) sont illogiques et faux mais cela ne rend pas les Évolutionnistes corrects. Ils donnent simplement à ces protagonistes de l'Évolution un homme de paille à attaquer pour discréditer le Créationnisme.

 

Ces personnes qui se disent scientifiques Évolutionnaires ne s’en prennent pas par exemple à Stephen Hawking et à Roger Penrose à propos de leur déclaration de la singularité derrière la création de l'univers dans la position de 10 à la puissance 10 à la   123ème puissance. Ils prouvent simplement qu'il y a un point (sélection de volume espace phase [ou temps]) et uniquement un point duquel l'univers a pu être généré et cette singularité, ils la comprennent comme étant Dieu. La Physique Atomique et la Théorie Quantique nous ont démontré que l'infrastructure sous-jacente de l'univers n'est pas physique. Il a aussi maintenant été démontré par la dégradation des Mésons-K qu'il y a une directivité au temps. Les évolutionnistes ne veulent pas examiner la logique et la complexité de ces problèmes. Ils font des hypothèses et créent des modèles mathématiques, qui sont fondés sur de fausses prémisses. N'importe quel étudiant de première année en philosophie échouerait pour ne pas avoir été capable de démolir ces arguments absurdes.

 

La logique fondamentale derrière la Bible est que la création de l'univers est le produit d'une intelligence qui est une singularité. Logiquement, cette intelligence a une obligation de communiquer son intention et son but aux éléments intelligents de la création, si elle a un but et un sens. La Bible est la seule source cohérente en notre possession qui revendique être cette révélation de la Singularité qui en français, est appelée Dieu.

 

La logique de l’École de La Jeune Terre (The Young Earth School) proposant la présence de dinosaures sur l’Arche peut facilement être réfutée.

 

Les dinosaures étaient disparus et ne pouvaient pas avoir été sur l'Arche. Si Dieu avait voulu les préserver, ils auraient en effet été sur l'Arche et non détruits par la suite. Si Dieu avait voulu que Noé préserve les espèces dans l'Arche, ils auraient fait partie des rapports post-déluge et du récit Biblique aussi. Ils ne font pas partie des récits post-déluge et ils ne font pas partie des récits géologiques et historiques post-déluge et donc, ils ne pouvaient pas avoir été présents sur l'Arche et ils ont donc été destinés par Dieu à être détruits.

 

La Bible n'exige pas logiquement que la Terre ait seulement six mille ans. La Terre en Genèse est décrite comme devenant sans forme et vide, ou Tohu et Bohu. La description dans Genèse 1 n'exige pas que la Terre ait été créée il y a six mille ans et effectivement, la description pourrait être argumentée pour refléter l'opposé.

 

La science se développe actuellement exponentiellement dans la compréhension du processus de l'univers. On comprend maintenant que les systèmes d'étoiles sont eux-mêmes des instruments de création. Dans cet argument pour l'Évolution, il y a en effet quelques arguments étranges proposés par des personnes qui se disent scientifiques et anthropologues qui sont basés sur de fausses prémisses.

 

Un exemple est l'utilisation de technologies pour artificiellement prolonger l'âge de quelques sites archéologiques. Un anthropologue en Australie a daté une découverte d'un squelette humanoïde basée sur les pierres trouvées dans le secteur de la cavité de l'estomac du spécimen. Il a ensuite argumenté que le spécimen avait un problème intestinal et a mangé les pierres pour se débarrasser de la maladie. Cet argument était si absurde que même les autres anthropologues ont été embarrassés et l’ont déclaré absurde.

 

Cependant, il peut être constaté que très souvent, ce qui serait nécessaire pour logiquement embarrasser un scientifique ou un anthropologue évolutionniste, réussirait aussi peut-être à arrêter un train.  

Quelques absurdités sont développées à des fins politiques. Par exemple, les données de l'ADN et les autres données historiques de l'espèce humaine sont basées sur une série de fausses prémisses.

 

Fausse Prémisse 1 : Que l’ADNmt ne cause pas des mutations dans le Génome Humain.

 

Basé sur cette fausse prémisse, un modèle mathématique d’humains modernes a été créé qui étend le développement de l'espèce humaine des Homo sapiens sur plus de 130.000 ans.

Nous savons maintenant par la recherche faite par l'Institut Pasteur en France que cette vue est complètement fausse et que l'ADN de mitochondrie des femmes provoque la mutation à travers le génome humain entier. Malgré cette importante découverte et les implications évidentes pour l'âge des humains modernes, les modèles n'ont pas été ajustés.

 

Fausse Prémisse 2 : Les Aborigènes Modernes ont été présents en Australie depuis 40.000 ans.

 

L'ADNY des Aborigènes tombe en trois groupes principaux : C4 qui est une mutation à partir du groupe C de base, lequel s’est déplacé des côtes indiennes et du Sud-est asiatique vers aussi loin que le Vietnam, qui est très ancienne, K, et R de base ; et il y a un peu d’ADN chinois plus récent qui est Hg O. Les Haplotypes K et R de base sont des récentes mutations des Haplotypes d’ADNY humain. Jusqu’à 15 % des Aborigènes modernes sont descendants de la dernière mutation de la chaîne de haplonte R de base dérivés de K à P en Asie Mineure et est dérivée des ancêtres des Aryens et des Dravidiens en Inde et des Slaves et des Celtes de l'Europe et de l'Asie Centrale, et du Cameroun.

 

Ces arguments et mouvements sont exposés en détail dans l’œuvre L'Origine Génétique des Nations (No. 265).

 

Les évolutionnistes soutiennent que nous sommes venus de l'Afrique, et certains revendiquent même notre origine comme étant il y a 250.000 ans, parce que l’unique lignée ADNmt originale était Hg. L et cela est aujourd'hui trouvé principalement en Afrique et chez les femmes Afro-Américaines.

 

Ce que les scientifiques ont prouvé en fait c’est que tout l'ADN humain vient d'une source originale unique. Cela est le Haplotype ADNmt L pour les femmes et une seule lignée qui s’est divisée en une série de 19 Haplotypes d’ADNY principales pour les hommes. Toute la science moderne de l'ADN est parfaitement explicable par le récit de la Bible à partir d’Adam et d’Ève mais les modèles mathématiques sont trop étendus et sont rejetés par les Évolutionnistes, basés sur la Fausse Prémisse 1 ci-dessus.

 

Fausse Prémisse 3 : Il a fallu des millions d'années pour déposer les strates géologiques de la Terre.

 

Le fait est que des phénomènes naturels ont été observés se produisant spontanément et les modèles géologiques reposent sur une série de fausses prémisses subsidiaires.

Ce que nous avons vu dans le désastre du Mont St. Hélène aux États-Unis a été la déposition de strates en seulement quelques jours et quelques heures, que l’on pensait avoir pris des millions d'années. Krakatoa en Indonésie émerge aussi du fond de la mer après un siècle et demi, entre le moment où il a explosé et déposé sa cendre dans le monde entier durant une année.

L'auteur a parlé à des géologues seniors à l'université et dans le système minier qui soutiennent la vue que le Déluge a déposé des strates maintenant considérées être âgées de millions d’années. La logique est que les scientifiques recherchent des éléments de preuve pour une inondation au-dessus des couches de roches qui est en fait en elles-mêmes le résidu même du Déluge. Les roches sédimentaires sont elles-mêmes un rapport historique du Déluge.

 

Désintégration Radioactive

 

Un autre aspect de l'impossibilité des revendications de certains Évolutionnistes est la décomposition de certaines matières atomiques. Par exemple, le plomb est formé de la décomposition de l'uranium, un autre atome radioactif. Il y a une restriction spécifique quant à leur demi-vie radioactive et au cours d'une période spécifique de temps, le plomb est formé. Ainsi, la Terre doit être assez vieille, au moins, pour avoir formé du plomb et assez jeune, au moins, pour conserver les matières originales. Cela pourrait être logiquement soutenu qu'il peut y avoir deux corps célestes contenus dans ce qui est maintenant la Terre dont un est entré en collision avec l'autre qui porte toujours des implications logiques des chronologies des métaux concernés.

 

Il y a d'autres arguments basés sur l’observation de la décomposition du nucléon dans le perchlorate de plomb qui visent à détruire l’argument Créationniste de la Young Earth Creationist.

Nous examinerons plus loin la logique de l’argument de l’Uranium et du Plomb.

 

Fausse Prémisse 4 : La Calotte Glaciaire d’Antarctique a été paisible pendant des centaines de milliers d'années.

 

Les Anciens Rois des Mers ont tracé la carte de l'Archipel Antarctique durant les trois derniers millénaires et avant la destruction de la bibliothèque à Alexandrie, et avant la Période Romaine Chaude et la réformation de la calotte glaciaire. Cette carte a été incorporée par la Marine Turque parmi ses cartes en 1513 sous Piri Reest. Elle montre les côtes de l'Afrique et de l'Amérique dans leurs rapports corrects de latitudes et de longitudes, ce que nous ne savions pas comment faire deux ou trois siècles après que la carte a été réimprimée par les Turcs. Ces derniers non plus ne savaient pas comment calculer la position. Colomb a simplement utilisé de vieilles cartes pour se rendre aux Amériques.

 

Les implications pour la chronologie des strates sont que les couches des calottes glaciaires ne sont pas simplement des couches d'années, mais celles des saisons et des changements. La chronologie est beaucoup plus courte. La raison pour laquelle le modèle actuel n'est pas rejeté, est que les évolutionnistes ont besoin de ces grandes lignes chronologiques pour argumenter en faveur du changement évolutionniste.

 

Fausse Prémisse 5 : La température de la Terre a été constante depuis la dernière Période Glaciaire, qui a eu lieu il y a environ 10.000 ans et qui, seulement maintenant, est en train d’augmenter rapidement.

 

Le fait est que la Terre a une période Chaude tous les mille ans et qui dure entre 350 et 450 ans. La Température augmente de plus de 2 degrés et cause la hausse des niveaux de la mer et la fonte de grandes parties des calottes. La Période Chaude Médiévale était la dernière et a duré du neuvième siècle jusqu’au quatorzième siècle. La précédente était la Période Chaude Romaine et les niveaux de mer ont été démontrés comme étant de 2,1 m (7 pieds) plus hauts qu'ils ne le sont aujourd'hui. Le port d’Éphèse est à 2,1 m (7 pieds) au-dessus du niveau de la mer et se trouve dans les terres intérieures à 1,6 km (7 milles) du port actuel à Kusadasi en Turquie. Le littoral Australien était aussi anciennement à 2,1 m (7 pieds) plus haut qu’il ne l’est aujourd'hui, probablement au cours de la même période (voir l’étude Le Réchauffement Global et la Prophétie de la Bible (No. 218)). N'importe quel article couvrant le sujet de la Création/Évolution et du Réchauffement Global etc. doit aborder ces questions, sinon il doit être simplement discrédité. Il peut y avoir un aspect d’élévation des plaques impliqué.

 

L’Uranium et le Plomb

 

L'uranium se décompose en plomb. Le plomb est capable de bloquer la matière radioactive à cause de ses propriétés résiduelles après ce processus de décomposition. À partir du bulletin d'informations sur le web à http://www.ieer.org/fctsheet/uranium.html, nous sommes en mesure de voir une analyse succincte du processus Uranium-Plomb.

 

Découvert pour la première fois au 18ème siècle, l'uranium est un élément trouvé partout sur Terre, mais principalement en quantités de trace. En 1938, les physiciens allemands Otto Hahn et Fritz Strassmann ont prouvé que l'uranium pouvait être séparé en parties afin de produire de l'énergie. L'uranium est le combustible principal pour les réacteurs nucléaires et la matière première principale pour les armes nucléaires. L'uranium naturel se compose de trois isotopes : uranium-238, uranium-235, et uranium-234. Les isotopes d’uranium sont radioactifs. Les noyaux des éléments radioactifs sont instables, signifiant qu’ils sont transformés en d'autres éléments, se faisant typiquement par l'émission de particules (et parfois par l’absorption de particules). Ce processus, connu comme la décomposition radioactive, donne généralement lieu à l'émission de particules alpha ou bêta à partir du noyau. Il est souvent également accompagné par l'émission de radiation gamma qui est un rayonnement électromagnétique, comme des rayons-X. Ces trois sortes de radiation ont en quelques aspects des propriétés radicalement différentes, mais sont toutes des radiations ionisantes--chacune étant suffisamment énergique pour briser des liaisons chimiques et possédant de ce fait la capacité d'endommager ou de détruire les cellules vivantes.

 

Résumé des Isotopes de l’Uranium

Isotope

Pourcentage en uranium naturel

Nombre

de Protons

Nombre

de Neutrons

Demi-vie (en années)

Uranium-238

99.284

92

146

4.46 milliards

Uranium-235

0.711

92

143

704 million

Uranium-234

0.0055

92

142

245000

 

L'uranium-238, est l'isotope le plus répandu dans le minerai d'uranium, a une demi-vie d'environ 4.5 milliards d'années ; c'est-à-dire que la moitié des atomes dans n'importe quel échantillon se décomposerait en ce nombre d’années. L’uranium-238 se décompose par émission d’alpha dans le thorium-234, qui lui-même se décompose par émission de bêta en protactinium-234, qui se décompose par émission de bêta en uranium-234, et ainsi de suite. Les divers produits de décomposition, (quelquefois appelés "progéniture" ou "filles") forment une série, commençant de l'uranium-238. Après plusieurs autres décompositions d'alpha et de bêta, les séries se terminent avec l'isotope stable de plomb-206.

 

CHAÎNE DE DECOMPOSITION DE L’URANIUM -- Branche Principale
Lire de gauche à droite. Les flèches indiquent la décomposition.

Uranium-238 ==>
(demi-vie : 4.46 milliards d'années)
désintégration alpha

Thorium-234 ==>
(demi-vie : 24.1 jours)
désintégration bêta

Protactinium-234m ==>
(demi-vie : 1.17 minute)
désintégration bêta

Uranium-234 ==>
(demi-vie : 245.000 années)
désintégration alpha

Thorium-230 ==>
(demi-vie : 75.400 années)
désintégration alpha

Radium-226 ==>
(demi-vie : 1.600 années)
désintégration alpha

Radon-222 ==>
(demi-vie : 3.82 jours)
désintégration alpha

Polonium-218 ==>
(demi-vie : 3.11 minutes)
désintégration alpha

Plomb-214 ==>
(demi-vie : 26.8 minutes)
désintégration bêta

Bismuth-214 ==>
(demi-vie : 19.9 minutes)
désintégration bêta

Polonium-214 ==>
(demi-vie : 163 microsecondes)
désintégration alpha

Plomb-210 ==>
(demi-vie : 22.3 années)
désintégration bêta

Bismuth-210 ==>
(demi-vie : 5.01 jours)
désintégration bêta

Polonium-210 ==>
(demi-vie : 138 jours)
désintégration alpha

Lead-206
(stable)

 

 

 

L'uranium-238 émet des particules alpha, qui sont moins pénétrantes que d'autres formes de radiation, et de faibles rayons gamma. Tant qu'il demeure à l'extérieur du corps, l'uranium pose peu de risque physiologique (principalement par les rayons gamma). Si inhalé ou ingéré cependant, sa radioactivité pose des risques accrus de cancer des os et de cancer du poumon. L'uranium est aussi chimiquement toxique à de hautes concentrations et peut endommager les organes internes, notamment les reins. Des études sur des animaux suggèrent que l'uranium peut affecter la reproduction, le fœtus en développement, et augmenter le risque de leucémie et de cancers des tissus mous.

 

La propriété de l'uranium qui est importante pour les armes nucléaires et l’énergie nucléaire est sa capacité de se fissionner, ou de se diviser en deux fragments plus légers lorsque bombardée avec des neutrons, ce qui libère de l'énergie dans le processus. Parmi les isotopes d’uranium trouvés dans la nature, seulement l'uranium-235 peut entraîner une réaction en chaîne-- une réaction dans laquelle chaque fission produit assez de neutrons pour en déclencher d’autres, de sorte que le processus de fission peut-être maintenu sans aucune source externe de neutrons. En revanche, l'uranium-238 ne peut pas entraîner une réaction en chaîne, mais il peut être converti en plutonium-239, qui lui, peut en déclencher une. Le Plutonium-239, pratiquement inexistant dans la nature, a été utilisé dans la première bombe atomique testée le 16 juillet 1945 et celle qui a été lâchée sur Nagasaki le 9 août 1945.”

 

L'argument est donc avancé que l’Uranium-238, ayant une demi-vie de 4.46 milliards d'années, a commencé à se décomposer en Uranium-234. L'Uranium-235 est aussi trouvé dans l'échantillon et ne fait pas partie du processus de décomposition en Uranium-234.

 

L'Uranium-235 a une demi-vie de 704 millions d'années, sa présence également répartie dans les dépôts d'uranium indique que l'âge de la Terre ne peut pas être plus de 704 millions d'années. Cependant, sa quantité de dépôt est de 0.711 et la somme de ses neutrons est de 143 contre 142 dans l'Uranium-234. Seulement l'Uranium-235 peut soutenir une réaction en chaîne. Sa condition dans la nature est raisonnablement stable et se situe tôt dans son processus de décomposition de demi-vie et donc la Terre peut être supposée comme étant âgée de moins de 704 millions d'années. Il y a, cependant, de larges dépôts de son résidu de plomb, ce qui pose un autre problème.

 

L'argument que la Terre a évolué à partir de la structure atomique nécessite alors un âge d'au moins 4.47 milliards d'années vu que nous avons du plomb stable sur la planète qui est le sous-produit de la décomposition de l'Uranium-238.

 

L'objection évidente consiste dans le fait que nous avons aussi de l'Uranium-235 stable, qui est le plus disposé à une réaction en chaîne et donc les dépôts d'Uranium doivent être le résultat d’une combinaison. Ainsi, les Créationnistes argumentent en faveur d’une Création Divine, combinant ces éléments et particules.

 

L'argument Évolutionniste serait que le Big Bang a créé l'uranium initial et depuis 4.47 milliards d'années (voir ci-dessous), nous avons été en mouvement et en décomposition. L'objection évidente à la question est l’U235 et l'Évolutionniste s’objecterait en argumentant qu'il a dû venir d'un autre corps céleste qui est entré en collision avec la Terre. La logique est encore fautive vu que la production de l'U235 a dû avoir eu lieu il y a moins de 704 millions d'années et il s’est uniformément distribué.

 

L'argument ne peut pas être avancé que la collision avec la Terre s’est produite au-delà de 704 millions d'années sinon la demi-vie serait expirée et c'est beaucoup trop tôt dans sa demi-vie. Ainsi, l'infusion d'U235 doit avoir été universelle et au cours des derniers millions d'années. La distribution également répartie et peu nombreuse de l'U235 dans les dépôts d'uranium indique une infusion naturelle et dans un ordre de grandeur, ou un âge d’environ 2 millions d’années au maximum.

 

L'existence du plomb côte à côte avec l'uranium crée aussi un problème pour les Évolutionnistes, qui ne peut pas être résolu par aucun des systèmes de logique.

 

L’U238 ne pouvait pas avoir créé une réaction en chaîne, à moins qu'il n'ait été provoqué par le Plutonium-239, qui est pratiquement inexistant dans la nature. Ainsi, nous avons un argument qui soutient la Création beaucoup plus que l'Évolution.

 

L'objection est qu’on ne peut pas avoir un dépôt harmonieux d'uranium évolué d'U238, d’U235 et d’U234 avec du plomb stable. Les chronologies ne permettent pas la décomposition de toutes les parties en leurs produits finis, tout en conservant les autres parties telles que l’U235 en sa forme relativement non-décomposée, selon notre compréhension scientifique actuelle.

 

L'argument de la décomposition de matériaux est complexe, mais elle est directionnelle dans le temps, découlant de notre observation des mésons K également (voir La Création etc. B5 au Chapitre 1).

 

Âge de la Terre selon Évolutionnistes

 

Les évolutionnistes dans la Science moderne soutiennent que l'âge de la Terre et du reste du système solaire est d’environ 4.55 milliards d'années (plus ou moins environ 1 %). Ils affirment que cette valeur est tirée de plusieurs lignes différentes de preuves.

 

Les scientifiques sont forcés d'admettre que l'âge de la Terre ne peut pas être calculé directement des matériaux qui se trouvent uniquement sur la Terre. L'argument général est qu'il y a évidence que l'énergie de l'accumulation de la Terre a causé la fonte de la surface. Ils prétendent aussi que les processus d'érosion et le recyclage cortical ont apparemment détruit toute la surface initiale.

 

Les roches les plus vieilles trouvées jusqu'ici sur la Terre sont datées par les Évolutionnistes à environ 3.8 à 3.9 milliards d'années en utilisant des méthodes radio métriques de datation. Certaines de ces roches sont sédimentaires et pourraient bien être reliées au Déluge mais les Évolutionnistes ne disputent pas ce point-là. L'inclusion des minéraux qui ont été épuisés est tenue pour être aussi vieille que 4.1 à 4.2 milliards d'années. Les évolutionnistes admettent que des roches de cet âge sont relativement rares. Ils prétendent que des roches qui sont au moins de 3.5 milliards d'années ont été trouvées en Amérique du Nord, au Groenland, en Australie, en Afrique et en Asie selon les propriétés radioactives des atomes montrés ci-dessus.

 

L'argument des Évolutionnistes est que la Terre doit être au moins aussi vieille que toute structure présente et donc lorsqu’ils trouvent des roches avec les propriétés de décomposition montrées ci-dessus, ils prétendent immédiatement que la Terre est aussi vieille que cette propriété de décomposition. Ensuite, ils prétendent que cette limite inférieure est conforme avec les 4.55 milliards d'années bien qu'ils n'aient aucune preuve qui provient de la Terre ayant une structure valide.

 

Les évolutionnistes admettent qu'ils utilisent l'argument basé sur la décomposition vers le plomb comme étant le moyen le plus direct pour calculer l'âge de la Terre. C'est fait en utilisant un âge isochrone Pb/Pb, tiré des échantillons de la Terre et de météorites. Cela implique la mesure de trois isotopes de plomb (Pb-206, Pb-207 et Pb-208 ou Pb-204). Un graphique est préparé du Pb-206/Pb-204 versus le Pb-207/Pb-204.

 

Ils supposent que le système solaire a été formé d'une masse commune de matière, qui était uniformément distribuée en termes de proportions d'isotope Pb. Ensuite, ils soutiennent alors que les graphiques initiaux pour tous les objets de cette masse de matière coïncideraient sur un point unique de la courbe graphique.

 

Au cours du temps, les quantités de Pb-206 et Pb-207 changeront dans quelques échantillons, comme ces isotopes sont les produits finis de la décomposition de l'uranium (U-238 se décompose en Pb-206 et l'U-235 se décompose en Pb-207). Cela cause les points de données de se séparer les uns des autres. Plus la proportion d'uranium-plomb d'une roche est élevée, plus les valeurs de Pb-206/Pb-204 et Pb-207/Pb-204 changeront avec le temps.

 

Ils basent l'argument sur la prémisse que si la source du système solaire était également uniformément distribuée en ce qui concerne les proportions d'isotope d'uranium, alors les points de données se situeront toujours sur une ligne unique. Ils soutiennent ensuite qu’à partir de la pente de la ligne, ils sont capables de calculer le temps écoulé depuis que la masse de matière est devenue séparée en objets distincts.

 

On voit le problème avec cet argument dans la demi-vie des particules d'U238 et d’U235 et l’énorme différence de la demi-vie des particules et le fait que l'U 235 est présent en divers états de décomposition, comme l’est l’U238 et le produit fini final du plomb sous les deux formes, Pb 206 et Pb 207, sont de même disponibles. Donc, l'origine de la Terre devait être variable selon leur argument, ou est le produit d'interactions au cours du temps et/ou de l'interférence d'une autre source qui a changé sa structure. Les Créationnistes soutiennent que cette entité est la singularité que nous appelons Dieu.

 

La Seconde Loi de la Thermodynamique et l'Entropie dans la Création

 

La Seconde Loi de la Thermodynamique ne permet pas la Théorie de l'Évolution pour des chronologies telles qu’exprimées par les Évolutionnistes. Aucun processus spontané n'est possible dans un système isolé et requiert une interférence ou entrants (inputs) externes.

 

L'entropie de systèmes isolés est soumise aux absolus. Un processus de système isolé peut arriver seulement s'il augmente l'entropie totale du système.

 

Ainsi, le système peut, soit rester le même, soit subir un certain processus physique qui augmente l'entropie. Les processus qui diminuent l'entropie totale d'un système isolé ne se produisent pas. Si un système est en équilibre, par définition, aucun processus spontané ne se produit et donc le système se situe à l'entropie maximale (cf. l'article sur la Seconde Loi à Wikipédia  http://en.wikipedia.org/wiki/Second_law_of_thermodynamics). L'évolution est en fait un processus spontané. Ce processus n'a pas été formellement observé, mais est un processus hypothétique assumé comme étant l'origine des espèces. Le récit géologique est manifestement discontinu et l'hypothèse est non prouvée. Le fait que nous partageons les systèmes de vie avec des chimpanzés, des vers de terre et des souris ne signifie pas logiquement que nous sommes issus de quelconque d'entre eux.

 

De Clausius, la formulation la plus simple de la Seconde Loi, la formule pour la chaleur, spécifie :

La chaleur ne peut pas spontanément s’écouler d'un matériau de température inférieure à un matériau de température plus élevée.

 

D'une façon informelle, ‘La chaleur ne s’écoule pas du froid au chaud’, ce qui est évidemment vrai à partir de l'expérience de tous les jours. Notez que par la définition mathématique d'entropie, un processus dans lequel la chaleur s’écoule du froid au chaud voit l'entropie diminuer, donc la formule de l'entropie du deuxième principe [ou seconde loi] implique directement la formule pour la chaleur (ibid.).

 

Une troisième formulation du deuxième principe, la formule de la machine thermique, par Lord Kelvin, est :

Il est impossible de convertir la chaleur complètement en travail.

Autrement dit, il est impossible d'extraire l'énergie de la chaleur d'une source d'énergie à une température élevée et convertir ensuite toute l'énergie en travail. On doit dissiper au moins un peu d'énergie pour chauffer un refroidisseur à basse température. Donc, une machine thermique avec une efficacité de 100 % est thermodynamiquement impossible.

 

La thermodynamique est une théorie des systèmes macroscopiques en équilibre et donc le deuxième principe s'applique seulement aux systèmes macroscopiques avec des températures bien définies. Aucune violation du deuxième principe de la thermodynamique n'a jamais été observée dans un système macroscopique. Mais sur l’échelle de quelques atomes, le deuxième principe ne s'applique pas ; par exemple, dans un système de deux molécules, il est possible pour une molécule se déplaçant plus lentement ("froide") de transférer de l'énergie à une molécule se déplaçant plus rapidement ("chaude"). De tels minuscules systèmes sont à l'extérieur du domaine de la thermodynamique, mais ils peuvent être examinés en utilisant la mécanique statistique. Pour n'importe quel système isolé avec une masse de plus que quelques picogrammes, le deuxième principe est vrai à quelques parties par millions près.

 

Dans un sens général, le deuxième principe dit que des différences de température entre des systèmes en contact ont tendance à s’équilibrer et qu’un travail peut être obtenu de ces différences non-équilibrées, mais cette perte de chaleur se produit, sous la forme d'entropie, lorsqu’un travail est fait. Des différences de pression, de densité et particulièrement des différences de température, ont toutes tendance à s’équilibrer si l'occasion est donnée. Cela signifie qu'un système isolé en viendra finalement à une température uniforme.” (ibid.)

 

Aucun travail utile ne peut être tiré d'un système isolé en l'équilibre ; il doit toujours y avoir une source d'énergie externe et un refroidisseur pour dissipation de chaleur. Par définition, les machines à mouvement perpétuel du deuxième type devraient violer le deuxième principe pour pouvoir fonctionner.”

 

Aussi, la chaleur ne s’écoule pas du froid aux corps chauds, mais cette vue a été contraire à la Théorie Calorique de la science il y a deux siècles.

Wikipédia affirme aussi que :

Établie au 19ème siècle, la déclaration Kelvin-Planck du Deuxième Principe dit, "Il est impossible pour un dispositif quelconque qui fonctionne sur un cycle de recevoir de la chaleur d'un réservoir unique et de produire un travail net." Cela a été démontré comme étant l’équivalent à la déclaration de Clausius.

 

L'hypothèse d'Ergodicité est également importante pour l'approche de Boltzmann. Elle dit que, au cours de longues périodes de temps, le temps passé dans une certaine région de l'espace de phase des micro-états avec la même énergie est proportionnel au volume de cette région, c'est-à-dire que tous les micro-états accessibles sont également probables au cours d’une longue période de temps. En d’autres mots, elle dit que la moyenne d’un paramètre d’un procédé dans le temps et la moyenne de l'ensemble statistique est la même.” (ibid.)

 

La mécanique quantique a aussi été utilisée pour prouver le Deuxième Principe en montrant que l'Entropie Von Neuman locale est à sa valeur maximale avec une extrêmement haute probabilité et est valable pour une grande classe de systèmes quantiques isolés tels qu’un gaz dans un contenant. Un tel système plein est pur et n'a aucune entropie. Cependant, de la thermodynamique quantique, l'enchevêtrement entre le gaz et le contenant provoque une augmentation de l'entropie locale du gaz.

 

Descriptions informelles

 

Le deuxième principe peut être énoncé de diverses façons succinctes, y compris :

Il est impossible de produire un travail dans un environnement en utilisant un processus cyclique connecté à un réservoir de chaleur unique (Kelvin, 1851).

 

Il est impossible d'effectuer un processus cyclique en utilisant une machine connectée à deux réservoirs de chaleur qui auront comme seul effet le transfert d'une quantité de chaleur du réservoir basse température au réservoir haute température (Clausius, 1854).

 

Si un travail thermodynamique doit être fait à un taux fini, de l'énergie libre doit être dépensée.

Clausius a dit le 24 avril 1865 que “l'entropie de l'univers tend vers un maximum.” Cependant, le terme est trop général et les systèmes doivent être définis” (ibid.). Les évolutionnistes le considèrent comme étant un problème car l'univers est alors par définition dans un état qui distribuera également la chaleur à travers le système et au cours de la période de temps hypothétique ou permise pour l'univers, l'entropie devrait être à sa valeur maximale.

Cependant, nous savons que l'univers forme de nouveaux systèmes et élimine de vieux systèmes en tout temps. La fonction du soleil en tant que machine thermique devrait avoir tendance à l'entropie et le système solaire devrait se refroidir. La chronologie de son refroidissement est sérieusement en question étant donnée la fonction de sa production de chaleur. Aucune explication adéquate pour le soleil n'est consentie ou expliquée entièrement dans le contexte du Deuxième Principe.

La maintenance de l'univers peut seulement se produire par une force qui le supporte au niveau mécanique ou sous-atomique quantique et cette substance est définie selon divers termes tels que les quarks et ceux-ci sont eux-mêmes soumis à des infrastructures non-physiques encore plus petites. Cette vue tient aussi de la mécanique statistique où l'explication du Deuxième Principe stipule qu'une matière est composée d'atomes et de molécules qui sont en mouvement constant. Cependant, le mouvement est aussi dérivé de sous-particules plus petites qui elles-mêmes sont formées de forces qui ne peuvent pas être décrites physiquement et sont des états non-physiques.

Un ensemble particulier de positions et de vitesses pour chaque particule dans le système est appelé un micro-état du système et à cause du mouvement constant, le système change constamment son micro-état. La mécanique statistique postule que, en équilibre, chaque micro-état dans lequel le système pourrait se trouver est également probable d'arriver et quand cette supposition est faite, il mène directement à la conclusion que le deuxième principe doit être valable du sens statistique. Autrement dit, le deuxième principe sera valable en moyenne, selon une variation statistique de l'ordre de 1/√N où N est le nombre de particules dans le système. Pour des situations (macroscopiques) de tous les jours, la probabilité que le deuxième principe sera violé est pratiquement nulle. Cependant, pour des systèmes avec un petit nombre de particules, les paramètres thermodynamiques, y compris l'entropie, peuvent montrer des déviations statistiques significatives des valeurs prévisibles selon le deuxième principe. La théorie thermodynamique classique ne traite pas de ces variations statistiques.” (ibid.)

 

Donc, la seule façon de soutenir l'univers est par l'infusion d'énergie dans le système grâce à des états quantiques ou par la Création de ces macro-états dans les systèmes solaires qui varient en âge ; et l'univers se recrée ainsi à un niveau non-physique vers l'état macroscopique. La source de l'énergie non-physique, nous l’appelons l'Esprit et c'est la création de la singularité au point du volume espace phase [ou temps] que nous appelons “le doigt de Dieu”, c’est à dire, le point exact où Dieu a créé l'univers. Les choses que l'on voit sont faites à partir de choses qui sont invisibles. La création est continuelle.

 

Lumière et Distance

 

L'univers est très lointain et ses galaxies les plus éloignées sont à des milliers d'années-lumière de distance entre elles. Plusieurs étoiles et même des galaxies que nous voyons ont déjà explosé ou se sont effondrées mais nous voyons encore leur lumière. C'est un fait que nous savons maintenant que l'univers s'éloigne rapidement du point central initial à une vitesse énorme et nous ne connaissons pas encore (à cause de la vitesse de ce mouvement) exactement quel âge il a vraiment. 

 

Singes et Humains

 

Quelques Évolutionnistes prétendent que nous ne descendons pas des singes, mais d'un ancêtre commun. Les plus ouverts admettent que le premier ancêtre serait appelé un singe. En gros, les Évolutionnistes croient qu'un petit groupe de créatures s’est détaché du groupe principal de primates généralement et sont devenues isolées de façon reproductive, menant à une nouvelle espèce (spéciation allopathique). Le groupe principal a continué et n'a pas disparu. Des Créationnistes utilisent aussi cet argument pour expliquer des variations dans l'espèce après la création.

 

Le fait est que l'espèce humaine n'a pas formé de nouvelles espèces, mais plutôt a simplement changé pour s'adapter à de nouvelles circonstances. Un exemple de cela est dans la baisse de Myéline à mesure qu’ils s’éloignaient de l'équateur au cours du temps afin d’absorber assez de vitamine D et les changements aux Haplotypes d'ADNY et ADNmt formant des groupes tribaux variables. Ceux qui ont demeuré assez près des tropiques ont conservé la couleur de peau brune de la lignée de l’ADNmt L de Ève et la couleur originale d'Adam (la branche pré-haplotype A et SRY 10831.1 etc.).

 

Ainsi, l'argument Créationniste implique la séparation d'information génétique existante et des changements ou des pertes par mutation. L'évolution exige la génération de millions indicibles de nouveaux matériels génétiques

 

L'idée de la transmission de caractères acquis a été entièrement discréditée. Ces arguments sont parfois destinés aux Créationnistes. Par exemple, il est parfois avancé qu'une côte a été retirée d’Adam pour créer Ève et selon ce point, les hommes devraient avoir une côte en moins que les femmes pour que la Bible soit vraie. La logique est incorrecte et en effet, nous savons maintenant qu'une autre côte aurait pu être reconstituée si la membrane periosteum avait été laissée intacte.

 

Les évolutionnistes adhèrent à une théorie qui exige une transition d'atomes physiques jusqu’à un organisme vivant et spécifiquement un homme moderne. Aucun tel changement n'a été observé se produire même à une augmentation mineure de l'information génétique. Tout ce que nous avons vu sont des changements significatifs quand un gène de contrôle est activé ou désactivé. Si l'Évolution était vraie, de tels changements de mutation seraient partout évidents. Ils ne sont pas évidents et la théorie est donc une hypothèse non soutenue et sans valeur en tant que théorie scientifique.

Test des Primates

 

Une des pratiques les plus trompeuses des anthropologues est de cacher l'ADN des primates testés. Par exemple, nous savons que l'ADN des Néandertaliens n'avait rien du tout à voir avec celui des humains modernes mais les structures ne sont pas analysées et discutées publiquement. Les revendications faites pour une ascendance d’hominidés peuvent être clairement réfutées par la production de l’ADNY et ADNmt des découvertes, cependant cela n'est pas fait publiquement comme cela ne soutient pas la théorie.

 

L'ADN non contaminé peut d'habitude être aisément extrait à partir de n'importe quelle dent trouvée sur n'importe quel fossile lorsqu’elle est effectuée par les professionnels qui évitent l'auto-contamination de l'objet ou du site.

 

Cela devrait être obligatoire pour chaque découverte de fossile d’être testé et le registre d'ADN extrait dans des conditions de laboratoire et publié pour la discussion publique. Une telle publication doit être dans les douze mois. Comme les fonds publics ou université sont impliqués dans la plupart des découvertes, cela devrait être facile de légiférer et de contrôler.

 

Toutes les découvertes en Australie doivent être testées et publiées. Qu'elles ne soient pas correctement testées et documentées, c’est parce que les théories et la politique des terres Autochtones et des paradigmes d'Anthropologue et l'intérêt personnel sont en conflit avec la publication ouverte.

 

Des mythes autochtones sont tenus sacro-saints sur des faits scientifiques en Australie et dans les Amériques et ailleurs. La théorie évolutionniste utilisée à ces fins n'est pas la science.

 

Métaux et Datation Archéologique

 

Les métaux ont été façonnés avant le Déluge et Tubal-Caïn (Genèse 4:22) était censément le premier artisan de métaux tels que le laiton et le fer. Ainsi, le fer était connu avant le Déluge et selon la Bible, avant le prétendu Âge de Bronze. Le laiton est obtenu en utilisant du cuivre et du zinc et c'est un processus difficile à développer et il a été établi au Royaume-Uni seulement après la Réforme. Le mot utilisé pour le laiton dans l'Ancien Testament était SHD 5178 Necosheth, provenant de 5154 Nechushah, signifiant cuivre et utilisé aussi pour le laiton et l'acier. Ainsi, nous devons conclure que le premier emploi du terme était pour le cuivre et c’est le terme probable pour le métal de base en Genèse 4:22. Le fer est le mot barzel (SHD 1270).

 

Le plomb est un métal qui a été utilisé depuis le Déluge et il était connu précédemment. Des haches en cuivre étaient connues durant l'Âge de Pierre. Le plus ancien humain que nous avons trouvé dans le glacier des Alpes italiennes avait une telle hache en cuivre sur sa personne.

 

Les Archéologues Modernes postdatent la première culture de métal à environ 7250-6750 AEC à Çatal Hüyük, près de Konya, au Sud-est de la Turquie. Ces dates créent un problème pour les partisans Créationnistes Young Earth Creationists, revendiquant la date de 4004 AEC, et effectivement pour tout Créationnistes qui suivent le Texte Massorétique et non pas la Septante et qui soutiennent que la Terre devait commencer en 4004 AEC ou plus tard. Le conflit est examiné dans l’Appendice B de l’étude Les Grandes Lignes de la Chronologie de L’Âge [272] (3ième édition)

 

Le problème se trouve dans les systèmes qui sont utilisés pour dater les âges si éloignés. Le problème réel provient de la variabilité du carbone dans les items mesurés pour la datation au carbone et les contaminations de strates de roche en thermo luminescence.

 

Les Eaux Primordiales

 

Les Créationnistes Young Earth Creationists ont un sérieux problème dans la logique des textes utilisés en Genèse 1:1-2. Genèse 1:1 dit : “Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Le premier verset était un terme compris comme étant la Création dans l'éternité passée. Cela était compris par les Apôtres comme étant ‘le monde qui fut alors’. Ce monde était celui avant la création de cet âge. Nous voyons maintenant ses fossiles et ses "restes" (cf. 2Pierre 3:3-4).

 

Genèse 1:2 continue ensuite à dire : "et la terre était sans forme et vide (c'est-à-dire tohu et bohu) et il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux". La science de cette affirmation est que la Terre existait et qu’il y avait des ténèbres qui la couvrait et des eaux en elle. Le terme utilisé pour eaux est SHD 4325 mayim, qui est le mot standard de l’Ancien Testament pour n'importe quelle forme d'eaux, y compris l'urine ou l'urination. Ceci était toujours compris comme étant le chaos primordial qui a fait de la terre une désolation. Cela ne sous-entend pas logiquement que rien n’y était présent au moment où cela s’est produit et la distance entre les versets 1 et 2 couvre des aeons de temps et la destruction de la planète et des âges auparavant. Cela semble inclure la grande majorité des dinosaures, sinon tous. La séquence dans le chapitre indique une réorganisation du système solaire et de ses planètes et de ses lunes et nos restes fossiles semblent confirmer cette désolation et cette reconstruction.

 

Ce serait scientifiquement impossible pour une planète de conserver de l’H2O dans de grandes étendues d’eaux comme mentionnées dans Genèse 1:2 et de ne pas avoir le système solaire plus ou moins en place seulement plus tard. Il y a une grande quantité d'eau dans notre système solaire et ces eaux sont ajoutées à la Terre sur une base continuelle, ce que nous avons découvert récemment. L'origine de l'eau dans le système solaire est inconnue jusqu’à présent et peut avoir été expulsée d'un autre corps planétaire tel que Mars ou Phaéton, avant de devenir la ceinture d'astéroïde. La condensation provenant d'un nuage de gaz tourbillonnant en divers gaz et minéraux peut être argumentée par les Créationnistes pour avoir eu lieu il y a 6000 ans, mais la science présente quelques problèmes pour ce processus et les dinosaures n'étaient certainement pas capables de survivre du moins après le Déluge. Donc, leur existence aurait été limitée à 2000 ans selon cette vue.

 

Ce n'est pas nécessaire bibliquement qu'ils aient existé jusqu'au Déluge et certainement pas après. C'est un argument possible qu'ils puissent avoir été créés en 4004 AEC mais le texte indique que le Serpent a été forcé de se déplacer sur son ventre dès le moment du jardin d'Éden et donc, l'argument permet en fait un âge précédant la création d'Adam où Satan et les Élohim déchus ont créé les dinosaures. Leur but peut avoir été purement pratique, afin de fertiliser l'environnement de la Terre.

 

Un autre problème se trouve avec les mammouths dans le permafrost en Sibérie, qui sont allégués être âgés de 44.000 ans. Leur chair est bien préservée et un nouveau bébé mammouth a récemment été trouvé en bon état en Sibérie vu que le permafrost est en train de fondre. La base scientifique de la datation est considérée comme une conjecture. Les Créationnistes de la Nouvelle Terre seraient obligés de limiter les mammouths à une existence beaucoup plus récente et ces mammouths ont été examinés et des herbes tempérées ont été trouvées dans leurs bouches, qui sont maintenant trouvées à des latitudes beaucoup plus au Sud. L’existence de nourriture dans leur bouche est distincte du contenu de leur estomac qui a été trouvé dans des mastodontes en Amérique du Nord. Les indications montrent qu'il y a eu un déplacement de pôle très récent à partir de l'Amérique du Nord jusqu’à l'Océan Arctique et de là, une augmentation aussi des niveaux de mer et un gel subit des mammouths.  

 

L'Éden

 

Le récit du jardin d'Éden en Genèse place les limites du territoire comme étant délimité par le fleuve Pishôn en Havilah, qui est le fleuve se trouvant à l'Ouest de l'Euphrate, au Nord (Pallukat), se délimitant à l’Est à Shur, dans les pays du désert connectés avec Ophir. L'autre fleuve est Gihon à l'Est du Tigre, qui est le pays de Kherkhah et Khoaspes qui s’élève dans les montagnes du Kassi ou les territoires originaux de Cush et de là, c’est pourquoi il est confondu avec les Cushites du Sud ou les Cushites Africains en Éthiopie. Le fleuve Hiddekel est le mot Accadien pour le Tigre, en tant que Idiqla ou l'encerclement. Le suivant est l'Euphrate, qui est tiré du mot pherath. Le grec Euphrates vient du perse antique Ufratu.

 

La création d'Adam s’est produite au Moyen-Orient dans la région délimitée par ces fleuves.

 

Il est possible que l'existence des deux calottes sur la terre avant que le Déluge ait placé les niveaux de mer à environ 160 pieds (49 mètres), et la Mer Méditerranée aurait ainsi été une plaine avec la rivière Occidentale qui la traverse sur une distance beaucoup plus grande et la région Kushite du Sud peut en effet avoir été la limite sud mais ce n'est pas nécessaire pour le récit.

 

Les hausses du niveau de mer étaient plus élevées et la région du Moyen-Orient était beaucoup plus humide durant les âges jusqu’à la période Chaude Romaine au Premier siècle AEC jusqu’au quatrième siècle EC. La carte de Piri Reest montre les niveaux d’eau comme étant plus élevés et les terres plus humides, durant ces périodes. La carte a été placée dans la bibliothèque en Alexandrie, des siècles avant qu'elle n'ait été brûlée par les Musulmans et pendant le temps de la Période Chaude Romaine. Des copies des cartes Antiques sont dans l’œuvre de Hapgood Maps of the Ancient Sea Kings et la carte de Piri Reest de 1513, basée sur la carte d'Alexandrie, est dans l’œuvre de Cyrus Gordon Before Columbus (Turnstone Press London 1972, pp. 71-73).

 

Cette carte des côtes Atlantiques incluant l'Antarctique ne pouvait pas avoir été faite plus tard que le cinquième siècle de l'Ère Courante. Le Passage de Drake est omis comme l’est aussi une section de la côte de l'Amérique du Sud, mais elle est en relation directe avec l’Afrique et est bien dessinée. La carte est plus ou moins en accord avec le littoral d’environ 2,1 m (7 pieds) plus haut et beaucoup plus chaud, ayant des lacs et plus d'humidité en Afrique et en Espagne. Les territoires se retrouvant au Nord de la Bretagne ne sont pas montrés et cela serait en accord avec une hausse des niveaux de la mer.

 

Ainsi, les modèles évolutionnistes en état stationnaire sont complètement erronés et des mini-périodes glaciaires se produisent chaque mille ans. Nous sommes présentement en train de sortir d'une période glacière et les pôles montrent une preuve de la fonte. Ils pourraient plus tard suivre le déplacement du pôle magnétique et même se déplacer en Russie/Sibérie, ce qui provoquera la chute des niveaux de mer à long terme en mettant une autre calotte glaciaire sur terre. La hausse de la mer peut en fait être à court terme.

 

Les modèles actuels du Réchauffement Global ne tiennent pas compte de la Période Chaude Médiévale ainsi que la Période Chaude Romaine, ni d’une autre période qui a eu lieu au moment de David et ni d’une autre au moment du Déluge. Le Déluge lui-même peut bien avoir été causé par la fonte de la Calotte Canadienne et le déplacement du pôle vers l’Arctique, provoquant ainsi la hausse des niveaux de la Méditerranée et causant l’inondation de la plupart des premières civilisations là et causant la congélation des mammouths en Sibérie. Cela aurait changé le climat partout, particulièrement celui de l'Est et de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande significativement.

 

Cela aurait vu l'extermination de Kartan, une entreprise de technologie des outils dans les régions Côtières de l'Australie (voir aussi l’œuvre de Cox, La Création : De la Théologie Anthropomorphique à l'Anthropologie Théomorphique (B5)). L'existence de flore en Antarctique, qui commence maintenant à faire apparaître des graines dormantes depuis fort longtemps, est une preuve de ce que ces cartes antiques semblent nous dire.

 

Objection de Polonium Halos

 

Un des problèmes majeurs faisant face aux Évolutionnistes est l'existence du granit de Halos Polonium.

 

Nous avons vu le retard dans la désintégration du système d'Uranium à partir d’U238 à travers la séquence jusqu’à U234 et du Polonium dans les séquences finales avant qu'il ne se stabilise au Plomb 206, qui est stable. Les scientifiques savent depuis des décennies que le granit métamorphique de la Terre a du Halos Polonium au Polonium 218 qui théoriquement ne dure seulement que dans son état libre pendant 3.11 minutes avant qu'il ne se décompose immédiatement au Plomb 214. Dans cet état, il dure 26,8 minutes et se désintègre immédiatement au Bismuth 214 où il dure 19,9 minutes. Il se décompose alors au Polonium 214 qui a une demi-vie de 163 microsecondes avant de passer au Plomb 210, qui dure 22,3 ans avant de se métamorphoser en Bismuth 210 avec une demi-vie de 5.01 jours avant de se métamorphoser en Polonium 210 avec une demi-vie de 138 jours avant qu'il ne se transforme en Plomb 206.

 

Vous n’avez pas besoin d’être un professeur de Mathématiques pour comprendre que ce processus a une demi-vie combinée de moins de 23 ans et, donc, ces structures indiquent que l'événement de Création qui a eu comme conséquence les granits métamorphiques était partout en moins d’un jubilé, et de prendre au piège et de limiter des Halos Polonium à 3.11 minutes devait être un événement immédiat de durée de création moins de trois minutes. Les Halos Polonium qui étaient le résultat de l'événement sont uniformément répartis partout dans les granits de la Terre sur tous les continents. L'effet du Halo a été pris au piège dans les granits immédiatement et a laissé une signature témoin de l'événement. L'événement de Création devait ainsi être plus de trois minutes et, à partir de la présence d'U235 et ses produits de demi-vie ci-dessus, nous voyons que l'événement de Création a eu lieu pas plus loin en arrière qu'il y a 700 millions d’années. 

Résumé

 

Les conclusions sont :

L'examen de l'argument de la Création versus Évolution doit être effectué d’une façon disciplinée et dans un forum ouvert.

  

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