Christian Churches of God

 

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Les Psaumes d’Adoration dans le Temple

 

(Édition 3.5 20040523-20041122-20070731-20141229-20200229)

 

 

Le système du Temple utilisait des Psaumes spécifiques dans son sacrifice quotidien. Nous reproduisons et examinons ici ces Psaumes.

 

 

 

Christian Churches of God

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(Tr. 2004, 2021, rév. 2023)

 

 

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Les Psaumes d’Adoration dans le Temple [087]

 


L'Église pratique le culte chaque jour par la prière, et par le jeûne certains jours. Conformément au système du Temple, il y avait des sacrifices chaque jour. Les sacrifices quotidiens étaient divisés en sacrifices du matin et du soir.

 

L'Église a suivi, et suit toujours, le système d'adoration du Temple et son calendrier qui est basé sur les douze mois, avec le deuxième douzième mois intercalé sept fois tous les dix-neuf ans (consulter le document Le Calendrier de Dieu (No. 156)). Il fonctionne selon la Conjonction et numérote les jours à partir de la Conjonction. Il y a environ 59 jours tous les deux mois. Le Sabbat est chaque septième jour, qui est et a toujours été le jour que nous appelons maintenant le samedi dans le système païen français ou Saturday dans le système anglais (étant nommé d'après le dieu Saturne).

 

L'Église rend aussi un culte lors des Nouvelles Lunes et des Jours Saints des Fêtes, et elle se réunit trois fois par an pour l’ensemble des Fêtes, tel que commandé par Dieu par l’intermédiaire des prophètes (consulter aussi le document Les Sept Jours des Fêtes (No. 049)). Lors de ces trois périodes de Fêtes, la totalité des vingt-quatre divisions du sacerdoce exerçait les fonctions ensemble (Schürer, History of the Jewish People in the Age of Jesus Christ (Histoire des Juifs à l'Époque de Jésus Christ), Vol. II, p. 292). Le sacrifice quotidien avait lieu le matin et le soir. Les divisions du sacerdoce assumaient les tâches sur une base hebdomadaire et les prêtres étaient remplacés le jour du Sabbat. Le cours sortant offrait le sacrifice du matin, et le cours entrant offrait le sacrifice du soir (Schürer, ibid.).

 

Le sacerdoce était divisé en vingt-quatre divisions, de même que les Lévites, et la nation ou Congrégation d'Israël était également divisée en vingt-quatre divisions “dont chacune devait servir, par rotation hebdomadaire, en tant que le représentant du peuple devant Dieu, lorsque le sacrifice quotidien était offert” (Schürer, ibid. pp. 292-293). Contrairement aux prêtres et aux Lévites, la congrégation n'était cependant pas obligée d'aller à Jérusalem pour la semaine, mais elle se réunissait dans ses synagogues pour la prière et la lecture de la Bible, et probablement seule une délégation montait à Jérusalem (ibid. p. 293).

 

Le moment des sacrifices était à 9h00 ou la troisième heure pour le sacrifice du matin, et à 15h00 ou la neuvième heure du jour pour le sacrifice du soir. C'était lors de ce sacrifice du soir, à la neuvième heure, que l’on commençait à tuer les agneaux de la Pâque. C'est la raison pour laquelle nous célébrons la Mort de l'Agneau lors de ce service chaque année, le 14e jour d'Abib, au Premier mois (Abib), après avoir commémoré le Dîner du Seigneur la veille au soir. Les agneaux étaient tués de la neuvième heure à la onzième heure, c'est-à-dire de 15h00 à 17h00, le 14 Abib (cit. Josephus, Wars of the Jews (les Guerres des Juifs), VI, ix, 3). Ce moment était en accord avec le sacrifice quotidien standard du soir.

 

Dans l'antichambre du Temple (la salle orientale) se trouvaient les trois récipients/vases sacrés. Au centre se trouvait l'autel d'encens en or, appelé aussi autel intérieur, sur lequel on offrait l'encens quotidiennement – autant le matin que le soir. Au sud de celui-ci se trouvait le chandelier en or à sept branches, rempli d'huile, qui brûlait et était allumé en permanence (Schürer, pp. 296-297 ; rem. 17, p. 297). Au nord de l'autel se trouvait la table en or des pains de proposition, dont les douze pains étaient remplacés chaque Sabbat.

 

Les textes de la Bible nous disent que les lampes du Menorah devaient être allumées le soir pour qu'elles brûlent pendant la nuit. Selon Josephus, (Antiq, III, viii, 3), la pratique dans le Temple était d’en allumer trois pendant le jour et les sept la nuit, mais selon la Mishnah, c'était une le jour et les sept la nuit (m. Tam. 3:9) ; 64:1 ; de même Sifra à propos de Lévitique 24:1-4, voir Schürer note 17 de bas de page à la p. 297).

 

Nous savons que l'Église a observé les horaires des sacrifices quotidiens dans son adoration, car ils étaient tous ensemble assemblés, à la Pentecôte, à la troisième heure, qui est à 9h00. À ce moment-là, l'Esprit Saint entrait et était conféré à l'Église. C'était exactement cinquante jours après l'Offrande de la Gerbe Agitée, qui a été agitée lors du sacrifice du matin, le Premier jour de la semaine ou dimanche, pendant la Fête des Pains sans Levain (cf. aussi Lévitique ch. 23). L'Église observait tous les Sabbats, les Nouvelles Lunes et les Fêtes – tout le système entier des Fêtes, comme nous le savons par les Évangiles, les Actes et les Épîtres et elle continuait à le faire partout où elle n’était pas empêchée par la persécution. Nous savons également que l'Église observait les Nouvelles Lunes, les Fêtes et les Jours Saints conformément au Calendrier du Temple, et que le système d'ajournements n'était pas en vigueur avant le troisième siècle EC (ère courante).

 

On prétend qu'à l'époque d'Achaz, l'offrande du matin était un holocauste, une offrande consumée par le feu et que le sacrifice du soir était généralement une offrande de grains (2Rois 16:15) (cit. Schürer, ibid., p. 300). Ainsi, à l'offrande de grain signifiait vers le soir (1Rois 18:29-36). Cependant, nous savons aussi que les holocaustes étaient offerts le soir (Esdras 9:4-5 ; Daniel 9:21). Schürer utilise ce point pour affirmer qu'il y avait des altérations au sacrifice. Ézéchiel nous montre qu'un holocauste, une offrande consumée par le feu et une offrande de grain étaient faits le soir (Ézéchiel 46:13-15). Cependant, Schürer prétend que c'est une indication de la modification des sacrifices (ibid.). Pour étayer cette affirmation, il déclare ensuite que les textes sont composites et que le soi-disant “code Sacerdotal” stipule qu'un holocauste, une offrande consumée par le feu et une offrande de grain soient faits autant lors du sacrifice du matin qu'à celui du soir et qu'une offrande de boisson (une libation) doit les accompagner (Exode 29:38-42 ; Nombres 28:3-8). L'ordonnance d'une offrande consumée par le feu (un holocauste) et ce, deux fois par jour, était de longue date, comme nous le savons par les Chroniques (1Chroniques 15:40 ; 2Chroniques 8:11, 31:3).

 

Le fait est que les deux sacrifices quotidiens, à savoir du matin et du soir étaient des systèmes d'adoration à part entière, et qu’ils exigeaient des soins, des efforts et une attention appropriés de la part des trois secteurs de la nation, à savoir des prêtres et des Lévites aux Divisions Nationales dans leurs zones de résidence. Lors du sacrifice du matin, les procédures mises en œuvre depuis le début de la journée étaient appliquées et les officiers qui le désiraient commençaient par nettoyer les cendres de l'autel de l’holocauste. Ceux qui désiraient exécuter cette tâche s'étaient baignés avant l'arrivée de l'officier de la division. Ils tiraient au sort pour l'exécution de la tâche. À la lueur du feu de l'autel, l'homme choisi se lavait les mains et les pieds dans le bassin de bronze qui était situé entre le Temple et l'autel. Il montait les marches et balayait les cendres dans un plateau d'argent. Pendant cette activité, les prêtres qui préparaient l'offrande de grains cuits du Grand Prêtre s'affairaient à leurs tâches. 

 

Du nouveau bois frais était ensuite apporté à l'autel. Lorsqu’il était allumé, les prêtres se lavaient les mains et les pieds et se rendaient au lishkath ha-gazith, qui était le lieu de réunion du Sanhédrin et ce, jusqu'au temps de la destruction du Temple. Là, ils procèdent à un nouveau tirage au sort. Dans le récit du Nouveau Testament, leur réunion dans la maison du Grand Prêtre s’explique par l'irrégularité de la procédure faite pendant la nuit (voir Schürer, ibid. pp. 224-225).  

 

L'officier tirait au sort pour décider : 1) qui abattrait, 2) qui aspergerait de sang l'autel, 3) qui nettoierait les cendres de l'autel intérieur, 4) qui nettoierait les lampes, puis qui apporterait chaque morceau de la victime sacrificielle jusqu'aux marches de l'autel, ceux-ci étant : 5) la tête et une patte arrière, 6) les deux jambes de devant, 7) la queue et l'autre patte arrière, 8) la poitrine et le cou, 9) les deux côtés et 10) les entrailles, 11) et qui apporterait la farine fine, 12) l'offrande de grains cuits, (du Grand Prêtre) et 13) le vin (voir Schürer, ibid., p. 304). 

 

Les sacrifices n'avaient pas lieu avant le lever du jour. Alors que l'agneau était sélectionné après le lever du jour, les deux prêtres désignés pour nettoyer l'autel de l'encens et le chandelier allaient au Temple – le premier avec un récipient d'or et le dernier avec un pichet d'or. Ils ouvraient la grande porte du Temple et entraient. Dans le cas du chandelier d'or, si les deux lampes les plus à l'est brûlaient, elles étaient laissées intactes et seules les lampes restantes étaient nettoyées. Si les deux lampes les plus à l'est s’étaient éteintes, elles étaient alors nettoyées et rallumées en premier, avant que les autres ne soient nettoyées et remplies.

 

En partant, les deux prêtres laissaient derrière eux, dans le Temple, les ustensiles qu'ils avaient utilisés.  

 

Tandis qu'ils étaient occupés au nettoyage, les autres prêtres désignés choisissaient l'agneau et l’égorgeaient. Il était ensuite dépecé et divisé en plusieurs parties et chacun des prêtres désignés recevait les parties qui lui revenaient. L'animal était réparti entre six prêtres au total. Les entrailles étaient lavées sur des tables de marbre à l’endroit de l'abattage. Un septième prêtre s’occupait de l'offrande de farine, un huitième de l'offrande de grain cuit du Grand Prête et un neuvième du vin pour l'offrande de boisson (la libation). Le tout était ensuite placé sur le côté ouest des marches menant à l'autel et approvisionné en sel. Les prêtres se retiraient ensuite dans le lishkath ha-gazith, où ils récitaient le Shema. Après cela, ils ont de nouveau tiré au sort. Tout d'abord, le sort était tiré pour l'accomplissement de l'Offrande d'Encens parmi ceux qui n'avaient jamais accompli cette tâche. Ensuite, le sort était tiré pour savoir qui porterait les éléments individuels de l'offrande sacrificielle sur l'autel. (Selon R. Eliezar bin Jacob, les mêmes prêtres qui l'avaient fait initialement exécutaient cette tâche et les apportaient jusqu’aux marches de l'autel). Ceux sur qui le sort n'est pas tombé sont libres de partir, ils enlèvent leurs vêtements sacrés et se retirent.

 

Le prêtre choisi pour apporter l'offrande d'encens prenait ensuite une casserole en or à couvercle contenant une casserole plus petite avec l'encens. Un deuxième sacrificateur allait chercher des braises sur l'autel des holocaustes dans une louche en argent et les vidait dans une louche en or. Tous deux entraient ensuite dans le Temple. L'un d'eux versait les braises sur l'autel de l'encens, se prosternait en signe d’adoration, puis se retirait. L'autre prêtre prenait la petite casserole contenant l'encens de la grande casserole qu'il remettait à un troisième prêtre, puis versait l'encens de la casserole sur les braises de l'autel de façon à ce que la fumée monte. Puis il se prosternait également et se retirait ensuite. Les deux prêtres qui avaient eu pour tâches de nettoyer l'autel et le chandelier étaient déjà entrés dans le Temple avant les autres pour aller chercher les instruments mentionnés ci-dessus. Celui qui avait nettoyé le chandelier nettoyait alors les lampes les plus à l'est qui n'étaient toujours pas nettoyées. On en laissait brûler une pour qu'elle serve à allumer les autres en soirée. Si elle s’était éteinte, elle était alors nettoyée et rallumée avec le feu de l'autel des holocaustes. 

 

Les cinq prêtres qui avaient été occupés à l'intérieur du Temple montaient alors les marches devant le sanctuaire avec leurs cinq ustensiles d'or et prononçaient la bénédiction sacerdotale (Nombres 6:22-23) sur le peuple. Ce faisant, ils prononçaient le Nom Divin comme il est écrit. Ils disaient Yahovah. Ils n’ont pas dit Adonaï (cit. Schürer, ibid., p. 306). Ainsi, l'idée que le prêtre ne prononçait pas le nom de Dieu est donc complètement fausse. Non seulement ils le prononçaient, mais ils le faisaient dans la prière publique dans le cadre des actions du Temple à Jérusalem et ailleurs.

 

Ensuite, la présentation de l'offrande consumée par le feu avait lieu. Les prêtres désignés imposaient les mains sur les différents morceaux de l'animal sacrificiel, qui étaient aux marches de l'autel, les apportaient à l'autel et les plaçaient (jetaient, selon Schürer) sur l'autel. Quand le Grand Prêtre désirait officier, il est supposé avoir demandé aux prêtres de lui remettre les morceaux (cf. Eccles. 1:12) et il les a jetés sur l'autel. Finalement, les deux offrandes de grains – celles du peuple et du Grand Prêtre – étaient présentées ensemble avec l'offrande de boisson (libation). Quand les prêtres se penchaient pour verser l'offrande de boisson, un signe était donné aux Lévites pour qu'ils commencent à chanter. Ils se mettaient à chanter et, à chaque pause dans le chant, deux prêtres soufflaient dans des trompettes d'argent. “À chaque coup de trompette, le peuple se prosternait en signe d’adoration” (Schürer, ibid.). “L'adoration du soir était très semblable à celle du matin. Cependant, dans celle du soir, l'offrande de l'encens était faite après plutôt qu'avant l'offrande consumée par le feu (l’holocauste), et les lampes du candélabre n'étaient pas nettoyées le soir, mais seulement allumées” (cf. aussi Schürer, p. 303). 

 

Le peuple s'était rassemblé dans le Temple pendant le déroulement des préparatifs du matin des offrandes finales. Lors des pauses du chant, ils se prosternaient en adoration, au son des trompettes. Il y avait différents Psaumes établis pour les jours de la semaine. Les Psaumes étaient les suivants : le premier jour de la semaine, le dimanche, c'était le Psaume 24 ; le deuxième jour de la semaine, le lundi, c'était le Psaume 48 ; le mardi, c'était le Psaume 82 ; le mercredi, c'était le Psaume 94 ; le jeudi, c'était le Psaume 81 ; le vendredi, c'était le Psaume 93 et le Sabbat, c'était le Psaume 92. 

 

La signification spirituelle de ces actions est intéressante. Notez que le sacrifice du matin commençait à l'aube et se poursuivait toute la matinée. Le peuple était présent et participait aux activités qui atteignaient leur apogée vers la troisième heure.  

 

Les sacrifices représentent le développement de la Foi. La Pâque se réfère au Messie, en tant que l'Agneau et le premier-fruit de la Gerbe Agitée. Les sacrifices du soir se réfèrent à la Grande Multitude de l'Église. Les Sabbats, les Nouvelles Lunes et les Jours Saints se réfèrent aux élus des 144000. Chacun des Sabbats, etc. comporte les éléments du matin et du soir, ce qui est une exigence placée sur les élus pour avancer/progresser dans l'Esprit Saint à travers leur relation avec Dieu. L'Église de Dieu tout entière est l'élément des sacrifices du soir, car il n’y a aucune mention du sacrifice du soir dans le système ultérieur du Temple.  

 

Cela devrait être évident pour nous tous que les services de l'Église doivent avoir lieu à 9h00 et à 15h00, chaque jour de congrégation. L'Église s'est réunie à 10h00 et à 14h00 lors de certains Jours Saints, mais elle se réunit toujours à 9h00 pour la Gerbe Agitée et à la Pentecôte. Cela s’explique par le fait que de nombreux frères parcourent de longues distances pour se rendre aux services et retourner chez eux. Lorsque l'Église est réunie à l’occasion d’une Fête, ou lorsqu’il n’y a pas de personnes ayant de longues distances à parcourir, on s'attend à ce que les services suivent les horaires habituels des sacrifices du matin et du soir. 

 

Christ a également observé le Sabbat avec diligence, et, ces jours-là, aucun commerce n'était autorisé, conformément à la compréhension d'Amos 8:5. Dans Matthieu 14:14-15, nous voyons que les gens venaient à Christ au moment du sacrifice du soir, qui avait lieu soit au jour de Nouvelle Lune, soit au Sabbat. Lorsque le Sabbat était terminé, qu'il faisait nuit, et que les gens étaient encore rassemblés, ses disciples lui ont dit de permettre aux gens d'aller acheter des vivres. 

 

Matthieu 14:14-15 Quand il sortit de la barque, il vit une grande foule, et fut ému de compassion pour elle, et il guérit les malades. 15 Le soir étant venu, les disciples s'approchèrent de lui, et dirent : Ce lieu est désert, et l'heure est déjà avancée ; renvoie la foule, afin qu'elle aille dans les villages, pour s'acheter des vivres. (LSG)

 

L'Église, en tant que corps de rois et de prêtres, est exigée d'offrir des prières chaque jour, le matin autant que le soir (Exode 30:7-8). La préparation et les prières du matin précèdent le choix du moment de l'offrande du sacrifice du matin, et les prières du soir suivent le sacrifice du soir. Ainsi, nos prières agissent comme l'offrande d'encens et la lumière du chandelier d'or qui se trouve devant le Saint des Saints, et intercèdent auprès de Dieu pour le monde. C'est la raison pour laquelle les vingt-quatre Anciens sont chargés d'être à l'écoute, de surveiller nos prières et de nous assister (Apocalypse 5:8-10). 

 

Il y a une exigence de diligence dans la Foi dans l’aspect du Calendrier. Celui que nous adorons n'est pas juste déterminé par notre compréhension de la nature de Dieu. Le fait qu'il n'y a qu'un Unique Véritable Dieu, qui est notre Dieu et notre Père à tous, qui a envoyé Jésus-Christ – et qui constitue la base de notre adoration – peut être sapé par l'usage impropre ou la mauvaise application du Calendrier et du processus d'adoration. Si nous observons un calendrier erroné, nous adorons le dieu pour lequel il a été formé. Si nous reportons les jours d'adoration, nous plaçons un autre dieu devant l’Unique Véritable Dieu. Ne soyez pas induits en erreur. Accrochez-vous à la foi livrée aux saints, une fois pour toutes. 

 

Les Psaumes

Comme nous l'avons vu, le système du Temple utilisait un Psaume spécifique chaque jour pour la conduite des sacrifices quotidiens. En commençant par le premier jour de la semaine, que nous appelons dimanche dans le système du calendrier païen, nous voyons que le Psaume 24 débute par le concept de la création de Dieu. Dans ce Psaume, nous voyons le développement de la personne dans l'Esprit Saint, et de celle qui marche avec Dieu sur la montagne de Yahovah.

 

Contrairement au mythe populaire, le nom écrit de Dieu était spécifiquement mentionné dans les services du Temple, et ce nom était Yahovah (YHVH) et non Adonaï. Ce nom était non seulement prononcé par les prêtres quotidiennement, mais il était également chanté par la congrégation et les prêtres dans leur intégralité, en tant que le corps d'Israël, dans les Psaumes.

 

Ces Psaumes sont choisis pour identifier la nation comme la nation élue de Dieu. Ils identifient Israël comme le peuple de Dieu, et que le salut du corps d'Israël est en cours, et aboutira à l'établissement final de l'adoration, de la part d'Israël, depuis la montagne de Yahovah, le Très Haut.

 

Les Psaumes pour chaque jour montrent un développement continu de la création à travers la période des six mille ans autorisée par Dieu jusqu'à ce qu'elle parvienne au Sabbat millénaire, qui représente le règne de Justice sous la direction du Messie et de l'Armée loyale.

 

Le Premier Jour de la Semaine (dimanche) : Psaume 24 (Le Roi de Gloire) - Psaume Davidique

 

1 La Terre et ce qu'elle renferme, le monde et ses habitants appartiennent à Yahovah !

2 car il l'a fondée sur les mers et l'a établie sur les rivières.

3 Qui peut monter à la montagne de Yahovah ? Qui peut se tenir en sa place sainte ?

4 Celui qui a des mains innocentes et un cœur pur, qui ne livre pas son âme au mensonge, et qui ne jure pas pour tromper.

5 Il recevra la bénédiction de Yahovah et la justice de l'Elohim de son salut.

6 Voilà le partage de la génération qui l'invoque, de ceux qui cherchent le visage de l'Elohim de Jacob ! Pause.

7 Portes, élevez vos linteaux ; élevez-vous, portes éternelles ! Que le Roi de gloire fasse son entrée ! — 

8 Qui est ce Roi de gloire ? — Le Yahovah fort et puissant, le Yahovah puissant dans les combats.

9 Portes, élevez vos linteaux ; élevez-les, portes éternelles ! Que le Roi de gloire fasse son entrée ! — 

10 Qui donc est ce Roi de gloire ? — Le Yahovah des Armées : Voilà le Roi de gloire ! — Pause.

 

Nous voyons ici que l'elohim du salut d'Israël et de l'individu est Yahovah des Armées, et le Dieu des Patriarches. Ici, au début de la semaine, il est dit à la congrégation de Dieu que la création entière appartient à Yahovah. Il est dit à la congrégation ce qui est acceptable pour Dieu dans le processus d'adoration et qui peut s'approcher de Dieu.

 

Le Deuxième Jour de la Semaine (lundi) : Psaume 48 (Sion Glorifié) - Psaume des fils de Koré

 

Yahovah est grand et fortement exalté dans la ville de notre Elohim. Sa montagne sainte, s'élevant magnifiquement, est la joie de la terre entière. Le Mont Sion sur les pentes du nord est la ville du grand Roi. Elohim est connu comme une forteresse dans ses citadelles.

 

Regarde ! Les rois se sont réunis ; ils se sont avancés ensemble. Ils ont regardé et ont été figés de crainte ; ils se sont enfuis terrifiés. Là un tremblement les a saisis, comme la douleur d'une femme qui accouche, comme tu as détruit les bateaux de Tarsis avec le vent d'orient.

 

Ce que nous avions entendu dire, nous l'avons vu dans la ville de Yahovah Sabaoth, dans la ville de notre Elohim ;

Elohim l'établira pour toujours. -Pause.

 

Elohim, dans ton temple, nous contemplons ton amour fidèle. Comme ton éloge, ton nom, Elohim, retentit jusqu'aux extrémités de la terre ; ta main droite est remplie de justice. La montagne de Sion se réjouit. Les villes de Juda se réjouissent à cause de tes jugements.

 

Allez autour de Sion, encerclez-la ; comptez ses tours, notez ses remparts ; visitez ses citadelles pour que vous puissiez le raconter à une génération future : “Ce Yahovah, notre Elohim pour toujours - il nous mènera éternellement.”

 

Le deuxième jour de la semaine, la Ville de Sion est identifiée comme la Cité de Yahovah. Son Temple est identifié comme étant là. Le conflit avec Yahovah, qui protège éternellement la congrégation, est le thème du Psaume. Les navires de Tarsis étaient basés en Europe, dans le sud de l’Ibérie ou sud de l'Espagne. Ils soutenaient un puissant système de commerce à travers le monde.

 

Yahovah est Yahovah des Armées et donc Yahovah, Le Très-Haut

 

Le Troisième Jour de la Semaine (mardi) : Psaume 82 (Un Plaidoyer pour un Jugement Juste) - Psaume d'Asaph

 

Elohim a pris sa place dans l'assemblée divine ; il juge parmi les élohim. Jusques à quand jugerez-vous avec iniquité, et aurez-vous égard à la personne des méchants ? Pause. Rendez justice au faible et à l'orphelin, défendez les droits de l'opprimé et du pauvre, sauvez le misérable et l'indigent, délivrez-les de la main des méchants.

 

Ils n'ont ni savoir ni intelligence, ils errent dans les ténèbres ; tous les fondements de la terre sont ébranlés.  

 

J'ai dit, “Vous êtes des élohim ; vous êtes tous des fils du Très Haut. Cependant vous mourrez comme des hommes et tomberez comme un autre dirigeant.” 

 

Lève-toi, Elohim, juge la terre ! Car toutes les nations t'appartiennent.

 

Dans ce Psaume, nous voyons que les elohim sont une pluralité de fils de Dieu et que l'elohim en question prend sa place dans l'assemblée divine du Conseil des Elohim. Il commence à juger la Terre parce qu'il a reçu le jugement de toutes les nations.

 

Le premier élément de la création est l'Armée céleste, et ceux qui la composent sont aussi des elohim. Ceux qui composent l'armée humaine deviennent également des fils de Dieu, en tant que des elohim, et c'est ici, le troisième jour de la semaine, aujourd’hui appelé mardi, que ce Psaume était chanté. C'était la veille du jour de la préparation du 14 Abib en l’an 30 EC.

 

Ainsi, quand Christ a prononcé ces paroles, lui et tous ceux qui étaient présents savaient qu’elles avaient été chantées ce jour-là même tout juste avant le coucher du soleil, approximativement six heures avant.

 

le Grand Prêtre a vu que le lendemain du jour où ils avaient chanté ce Psaume, le but du texte a été mis en évidence et Christ a déclaré le destin divin des élus. Il est écrit que le Grand Prêtre avait prophétisé avant l'événement que quelqu'un allait mourir pour le peuple.

 

Le texte qui a suivi la citation de Christ montrait que l'elohim devait se lever pour juger la Terre, et que cet élohim était le Messie.

 

Le Grand Prêtre voyait donc Christ se déclarer lui-même le Messie, comme le Fils de Dieu. Le Psaume du quatrième jour, ou mercredi, confirme ce fait et le Grand Prêtre le savait, comme tout le monde.

 

Le Quatrième Jour de la Semaine (mercredi) : Psaume 94 (Le Juste Juge)

 

Yahovah, Elohim de vengeance, Elohim de vengeance, parais. Lève-toi, juge de la Terre ; donne aux fiers ce qu'ils méritent.

 

Yahovah, jusques à quand les méchants - jusques à quand les méchants se réjouiront-t-ils avec malveillance ? Ils disent des paroles arrogantes ; tous les scélérats se vantent. Yahovah, ils écrasent ton peuple ; ils oppriment ton héritage. Ils tuent la veuve et l'étranger et assassinent l'orphelin. Ils disent, “Yahovah ne le voit pas. L'Elohim de Jacob ne prête pas attention.”

 

Prenez garde, vous gens stupides ! Imbéciles, quand serez-vous sages ? Celui qui a formé l'oreille ne peut-il pas entendre, celui qui a formé l'œil ne peut-il pas voir ? Celui qui instruit les nations, celui qui enseigne la connaissance à l'homme - ne discipline-t-il pas ? Yahovah connaît les pensées de l'homme ; elles sont vaines.

 

Yahovah, heureux l'homme que tu disciplines et que tu enseignes par ta Loi pour le soulager dans les temps d'épreuves jusqu'à ce qu'une fosse soit creusée pour le méchant. Yahovah ne délaissera pas son peuple ou n'abandonnera son héritage, car la justice sera de nouveau vertueuse et tous ceux dont le cœur est droit la suivront.

 

Qui se lève pour moi contre les méchants ? Qui témoigne pour moi contre ceux qui font le mal ? Si Yahovah n'avait pas été mon secours, je me reposerais bien vite dans le silence (de la mort). Si je dis, “Mon pied glisse,” ton amour fidèle me soutiendra, Yahovah. Quand je suis rempli de soucis, ton confort m'apporte la joie.

 

Un trône corrompu - un qui forme des desseins iniques en dépit de la loi - peut-il devenir ton allié ? Ils se rassemblent contre la vie du juste et condamnent l'innocent à la mort. Mais Yahovah est mon refuge ; mon Elohim est le rocher de ma protection. Il fera retomber sur eux leur iniquité, il les anéantira pour leur vol. Yahovah, notre Elohim, les détruira.

 

Remarquez ici que l'Elohim de vengeance et de justice est le Yahovah qui a reçu Israël en héritage. Il s’agit donc ici d’un concept où Yahovah des Armées transmet Son autorité à Yahovah d'Israël. Cet Être est le Yahovah de Deutéronome 32:8, qui était l’un des fils de Dieu. Le Texte Massorétique (MT) a été modifié après cet événement et la mort du Messie pour lire : selon le nombre des fils d'Israël. Cela a été sans doute fait pour dissimuler ce fait. Cependant, le texte dit : selon le nombre des fils de Dieu, comme nous le savons à partir de la Septante (LXX), et maintenant des Manuscrits de la Mer Morte (MMM). La Bible version RSV en anglais montre le texte correct.

 

La condamnation des fiers et des arrogants était ici directement dirigée contre le sacerdoce qui a, en effet, condamné l'innocent et assassiné le Messie. Tout ce texte était dirigé contre l'injustice, et les Grands Prêtres savaient ce qu'ils faisaient à Christ et ce, par la prophétie et le propre témoignage que Christ a donné au bon moment dans cette séquence. Le "moi" dans ce texte est le Messie.

 

Le Cinquième Jour de la Semaine (jeudi) : Psaume 81 (Un Appel à l'Obéissance) - sur la guitthith d'Asaph

 

Chantez avec allégresse à Yahovah notre force ; poussez des cris de joie vers l'Elohim de Jacob. Entonnez des cantiques, faites résonner le tambourin, la harpe mélodieuse et le luth ! Sonnez de la trompette à la Nouvelle Lune, [et à la pleine lune (pas dans le texte ancien)], au jour de notre fête. Car c'est une loi pour Israël, une ordonnance de l'Elohim de Jacob. Il en fit un statut pour Joseph, quand il parcourut le pays d'Égypte...

 

J'ai entendu une langue inconnue : “j'ai soulagé son épaule du fardeau ; ses mains ont été libérées (de porter) le panier. Tu as crié dans la détresse, et je t'ai délivré ; Je t'ai répondu dans la retraite du tonnerre ; Je t'ai éprouvé près des eaux de Meriba. Pause.

 

Écoute, mon peuple ! et je t'avertirai ; Israël, si seulement tu m'écoutais ! Il ne doit pas y avoir un élohim étranger au milieu de toi ; ne te prosterne pas devant un élohim étranger. Je suis Yahovah ton Elohim, qui t'ai fait monter du pays d'Égypte ; ouvre ta bouche, et je la remplirai.

 

Mais mon peuple n'a point écouté ma voix, Israël ne m'a point obéi. Alors je les ai livrés aux penchants de leur cœur, et ils ont suivi leurs propres conseils. Oh ! si seulement mon peuple m'écoutait, si Israël marchait dans mes voies ! En un instant je soumettrais rapidement leurs ennemis, je tournerais ma main contre leurs adversaires ;

 

ceux qui détestent Yahovah lui feindraient la soumission ; leur perte durerait pour toujours. Mais j'alimenterais Israël du meilleur blé. “Je te satisferais du miel du rocher.

 

Ce Psaume était une remontrance adressée à Israël après qu'ils aient rejeté le Yahovah de l'Exode. En fait, ils l'avaient tué la veille, en cette année-là, en l'an 30 EC. Israël a été conduit à travers le désert et a été évalué/testé aux eaux de Meriba et cet Elohim qui était avec lui et qui l'accompagnait était Christ. Ils n'ont pas voulu écouter et Yahovah les a livrés à leurs propres voies obstinées.

 

Le Psaume établit la Nouvelle Lune d'Abib comme le Jour de Fête solennel d'Israël. Il s’agit du Nouvel An commandé. Les Juifs de la période post-dispersion l'ont changé pour lire "à la Nouvelle Lune et à la Pleine Lune" et l'ont ensuite utilisé pour appliquer le 1er Tishri comme leur Nouvel An corrompu Mais les textes originaux disent à la Nouvelle Lune, et le texte montre clairement que cela se rapporte à l'Exode en Abib et ne peut pas être Tishri.

 

Le Sixième Jour de la Semaine (vendredi) : Psaume 93 (Le Règne Éternel de Dieu)

 

Yahovah règne ! Il est revêtu de majesté ; Yahovah est revêtu, il est ceint de force. Le monde est fermement établi ; il ne peut pas être ébranlé. Ton trône a été établi dès les temps anciens ; tu existes de toute éternité.

 

Les fleuves élèvent, Yahovah, les fleuves élèvent leur voix, les fleuves élèvent leurs ondes retentissantes. Plus que la voix des grandes, des puissantes eaux, des flots impétueux de la mer, Yahovah est majestueux dans les lieux célestes.

 

Yahovah, tes témoignages sont entièrement véritables ; la sainteté est la beauté de ta maison pour toute la durée des temps.

 

Ainsi, nous voyons ici que Yahovah est loué dans les lieux célestes comme étant majestueux. En ce jour de la séquence de la Pâque de l’an 30 EC, le Messie était toujours dans le tombeau.

 

Le Septième Jour de la Semaine (samedi) : Psaume 92 (L'Amour et la Fidélité de Dieu) - un chant pour le jour du Sabbat.

 

Il est bon de louer Yahovah, de célébrer ton nom, ô Très Haut, de déclarer ton amour fidèle le matin et ta fidélité le soir, avec une harpe à dix cordes et la musique de la lyre.

 

Tu me réjouis par tes œuvres, Yahovah, par ce que tu as fait ; je crierai de joie à cause de l'ouvrage de tes mains. Que tes œuvres sont magnifiques, Yahovah ! Que tes pensées sont profondes ! La personne stupide ne sait pas, l'imbécile ne le comprend pas : quoique les méchants poussent comme l'herbe et tous ceux qui font le mal fleurissent, ils seront anéantis à jamais.

 

Mais toi, Yahovah, tu es glorifié pour toujours. En effet, Yahovah, tes ennemis périront ; tous ceux qui font le mal seront dispersés. Tu as relevé ma corne comme celle d'un bœuf sauvage ; j'ai été oint avec l'huile. Mes yeux regardent de haut mes ennemis ; mes oreilles entendent les scélérats quand ils m'attaquent.

 

Les justes croissent comme un palmier et s'élèvent comme le cèdre du Liban. Plantés dans la maison de Yahovah, ils prospèrent dans les parvis de notre Elohim. Ils porteront encore des fruits dans la vieillesse, pleins de sève et verdoyants, pour déclarer : “Yahovah est juste ; il est mon rocher et il n'y a aucune injustice en lui.”

 

Ce Psaume loue le Très-Haut comme Celui qui est fidèle en amour et l'objet de louange, autant le soir que le matin.

 

Yahovah est utilisé 7 fois dans le Psaume 92 pour le 7ème jour de la semaine. Sept est le nombre de la perfection.

 

Le jour du Sabbat, nous voyons la dualité du message. C'est à la fin de ce jour que le Messie est ressuscité par Dieu et que les elohim ont été à son service. La promesse de ce Psaume s'étend au Millenium et au Règne du Messie. Le Sabbat symbolise ce règne à venir pour la septième période de mille ans depuis Adam.

 

La Résurrection de Christ à la fin du jour du Sabbat symbolise la Résurrection Générale des morts à la fin du système millénaire. À partir de cette séquence, nous nous préparons au salut de toute l’humanité et à la remise à Dieu.

 

Le dimanche matin à 9h00, l'Offrande de la Gerbe Agitée est faite (agitée) devant Dieu. Le dimanche matin, après sa résurrection la veille au soir, Christ est monté à la Montagne de Dieu dans les cieux. C’est là qu’il a été accepté comme le sacrifice juste et le sacrifice pour le péché du monde. Les Psaumes reflètent également le fait de l'acceptation des justes dans le nouveau cycle. L’acceptation de toute l’humanité repentante est symbolisée par cette Gerbe Agitée qui commence avec Christ et s’étend à tous.

 

Ainsi, la séquence de la semaine de la Pâque du crucifiement était connue mille ans à l'avance. Le mensonge du sacrifice du vendredi obscurcit la véritable intention des Psaumes du culte du Temple et leur signification pour l'humanité.

 

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Ces Psaumes sont tirés de la Holman Christian Standard Bible (HCSB) (La Bible Chrétienne Standard de Holman ou BCSH) ; Holman Bible Publishers ; 2003, avec tous les noms modifiés pour revenir à l'usage original de l'hébreu.

 

La BCSH traduit systématiquement les noms hébreux pour Dieu de la manière suivante :

 


 

 

BCSH (anglais)

Hébreu Original

God (Dieu)

Elohim

LORD (ÉTERNEL)

YHVH (Yahovah)

Lord (Seigneur)

Adonaï

Lord GOD (Éternel DIEU)

Adonaï Yahovah

LORD of Hosts (ÉTERNEL des Armées) 

Yahovah Sabaoth

God Almighty (Dieu Tout-puissant)

El Shaddaï

 

 

 

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