Christian Churches of God

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Équilibre

 

(Édition 1.1 19970712-19970725)

 

 

 

Il y a souvent un conflit entre ce qui est considéré comme une approche saine et logique selon l'Écriture Sainte et celle poursuivie par les gens, avec ce que la Bible décrit comme du zèle, mais pas selon la connaissance. Une telle approche est décrite comme déséquilibrée. Certains iraient même jusqu'à la décrire qu’elle n’est pas conforme à un esprit sain. Ce document tente de donner quelques lignes directrices sur ce sujet de l'équilibre.

 

 

Christian Churches of God

PO Box 369, WODEN ACT 2606, AUSTRALIA

 

Courriel : secretary@ccg.org

 

(Copyright ã 1997 écrit par Erica Cox, édité par Wade Cox)

(Tr. 2013, 2022, rév. 2022)

 

Cette étude peut être copiée et distribuée librement à la condition qu'elle le soit en son entier, sans modifications ni rayures. On doit y inclure le nom, l'adresse de l’éditeur et l'avis des droits d'auteur. Aucun montant ne peut être exigé des récipiendaires des copies distribuées. De brèves citations peuvent être insérées dans des articles et des revues critiques sans contrevenir aux droits d'auteur.

 

Cette étude est disponible sur les pages du World Wide Web :
http://logon.org/ et http://ccg.org/

 


 Équilibre [209]

 

 


D’une manière générale, les êtres humains se font souvent des idées fixes, souvent sans avoir étudié et compris en connaissance de cause. Par exemple, nous sommes nombreux à penser que nous sommes en surpoids et à suivre un régime. Le régime que nous choisissons peut nous promettre une perte de poids rapide et facile, mais nous ne comprenons peut-être pas qu'il va probablement saper nos taux métaboliques naturels, ce qui peut entraîner une reprise rapide du poids perdu et plus encore. Nous nous retrouvons donc embarqués dans un manège de régimes à la mode, chacun d'entre eux nous promettant la silhouette mince de nos rêves. Certains pensent que les suppléments vitaminiques vont résoudre la plupart des carences alimentaires, d'autres évitent des aliments spécifiques, par exemple le sel, les œufs, les produits laitiers ou d'autres aliments ou combinaison d'aliments. Une approche équilibrée de la santé est importante à tous égards. Nous devons tirer le meilleur parti des informations scientifiques, environnementales et médicales dont nous disposons.

 

Beaucoup de nos problèmes de santé sont dus à notre mode de vie. Nous brûlons la chandelle par les deux bouts, pour ainsi dire. Nous ne faisons pas assez d'exercice, ne nous reposons pas assez, ne prenons pas assez l'air ou mangeons sur le pouce. Nous mangeons trop de mauvaises choses et pas assez de bonnes choses. Nos régimes alimentaires ne sont pas correctement équilibrés. Notre environnement est de plus en plus pollué. L'air que nous respirons est pollué, tout comme notre eau. Nous provoquons la contamination des fruits et légumes par des pesticides et des métaux lourds, ce qui constitue un risque pour la santé dans certaines régions (voir le document d’étude Les Lois sur l'Alimentation (No. 015)). En ajoutant des hormones à l'alimentation des poulets, nous affectons la valeur du poulet dans notre alimentation. Les additifs dans l'alimentation du bétail nuisent à la qualité de la viande bovine. En fait, la viande la plus sûre à consommer aujourd'hui, c'est le mouton ou le bœuf nourri en plein air.

 

D’autres nuisent à leur santé par le tabagisme et ceux d'entre nous qui ne fument pas doivent souvent en supporter les conséquences (par le biais du tabagisme passif). Notre incapacité à respecter les lois bibliques sur l'alimentation contribue au déséquilibre dans la chaîne alimentaire. Ces problèmes contribuent à une incidence accrue des réactions allergiques, entraînant la nécessité d'éviter certaines substances.

 

Il y a certaines choses pour lesquelles on ne peut presque rien faire. Cependant, nous avons l'obligation de nous assurer que ce que nous faisons est le meilleur que nous puissions faire dans les domaines où nous avons le contrôle.

 

D'après certains commentaires suscités par le document sur Le Végétarisme et la Bible (No. 183), il est devenu évident qu'il y avait quelques lecteurs qui n'avaient pas compris que l'un des enjeux était l'équilibre. La Bible nous met en garde sur la gourmandise/gloutonnerie et l'ivrognerie – aucun n’entrera dans le Royaume de Dieu (1Cor. 6:9-10). La Bible nous dit également qu'il n'y a pas de péché dans le manger et le boire (Deut. 14:25-26). L’équilibre ou la modération est le message qui nous est donné. On nous donne des instructions explicites sur ce que nous pouvons et ne pouvons pas manger (Lév. 11:1-46 ; Deut. 14:3-21) et il y a de très bonnes raisons pour ces instructions. Le document Les Lois sur l'Alimentation (No. 015) fournit quelques explications sur ces raisons.

 

La Bible nous donne des instructions claires sur la manière de mener un style de vie bien équilibrée. Certaines de ces instructions sont détaillées – voir les ordonnances dans Lévitique concernant les aliments purs et impurs (Lévitique 11), la purification après une naissance (Lév. 12), les maladies (Lév. 13 à Lév. 15), les relations sexuelles (Lév. 18). Ces dispositions sont reprises dans Deutéronome qui traite également de la mise en ordre de la nation, des crimes et des châtiments, des dispositions sanitaires, de l'hygiène personnelle, du mariage, des dîmes, et des conséquences de l'obéissance et de la désobéissance. Nous devons également nous rappeler que Christ a déclaré que pas un seul iota ou un seul trait ne disparaîtra de la Loi jusqu'à ce que tout soit accompli (Matthieu 5:18). Par conséquent, ces lois de l'Ancien Testament sont aussi valables aujourd'hui qu'elles l'étaient alors.

  

Les lois sont claires, mais les raisons qui les sous-tendent ne le sont pas toujours. Pour plusieurs personnes, la raison n'est pas importante. Si Dieu dit qu’il en était ainsi, alors ces personnes acceptent ce fait et feront de leur mieux pour vivre dans le cadre de ces lois. D'autres aiment savoir pourquoi. Dans de nombreux cas, le bon sens fournit les raisons. Dans d'autres cas, nous devons nous tourner vers la science. Le document sur Les Lois sur l'Alimentation (No. 015) s’appuie sur la science pour expliquer pourquoi certains aliments sont purs et d'autres, impurs. Par exemple, les médecins, les diététiciens, les nutritionnistes et les chercheurs peuvent expliquer assez facilement pourquoi il ne faut pas manger la graisse des animaux. Les dangers des régimes riches en cholestérol sont désormais de notoriété publique. La recherche a retracé que la cause de nombreuses maladies dont nous souffrons est notre régime alimentaire. Il est important de comprendre que Dieu nous a donné une grande variété d'aliments – viande, fruits, céréales, légumes, etc. –aucun d’entre eux ne doit être méprisé. Ils nous ont été donnés pour nous nourrir. Le Dieu qui nous a créés sait sûrement ce dont nous avons besoin pour garantir un corps sain.

 

L'obligation de consommer des céréales, des fruits et des légumes ne semble pas faire l'objet d'une grande controverse. En revanche, la question de la consommation de viande est très controversée. Ce problème ne concerne pas seulement les Adventistes du Septième Jour, mais aussi beaucoup de gens de toutes les religions ou sans religion qui s'abstiennent de manger de la viande pour toutes sortes de raisons. En discutant avec un nutritionniste travaillant pour l’Australian Meat and Livestock Corporation, il semble que les diététistes qui prônaient des régimes riches en fibres et une teneur faible en gras disent maintenant que la variété est le facteur le plus important. Afin de développer un régime qui contient tous les éléments de nutrition d’une alimentation saine et équilibrée, nous devons manger une grande variété d'aliments provenant de tous les groupes alimentaires de base.

 

Il n’existe pas un seul aliment (sauf peut-être la manne) qui contient tous les nutriments nécessaires. Ce n’est qu’en consommant un large éventail d'aliments que nous pouvons être sûrs de manger suffisamment de toutes les vitamines, minéraux, oligo-éléments, et ainsi de suite dont nous avons besoin. Les suppléments de vitamines aident certainement là où un régime alimentaire est déficient, mais ne devraient pas être pris sans discernement. Un excès de vitamines peut également entraîner des problèmes graves de santé.

 

L’une des grandes questions concernant la consommation ou l’abstinence de viande est celle du fer. Le fer est extrêmement important, car :

  1. il est le moyen par lequel l’organisme est approvisionné en oxygène sous forme d'hémoglobine dans les globules rouges. Un manque de fer se traduit par une diminution des globules rouges, ce qui entraîne une anémie ;
  2. les cellules qui combattent les infections dépendent de réserves adéquates de fer ;
  3. il est un composant essentiel de la réaction chimique qui produit de l'énergie à partir des aliments. 

Il existe deux types de fer dans les aliments.

 

Le fer héminique. On le trouve dans la viande rouge, le foie, les fruits de mer [poisson pur] et la volaille. Le fer héminique est jusqu'à dix fois plus facile à absorber par notre organisme que le fer non héminique. La viande rouge maigre est l'une des sources les plus riches en fer héminique et contient trois fois plus de fer que le poulet ou le poisson.

 

Le fer non héminique. On le retrouve dans le pain, les fruits, les légumes, les céréales enrichies en fer pour le petit déjeuner, les haricots, les lentilles et les œufs. Le fer non héminique n'est pas bien absorbé par l'organisme, mais son absorption peut être multipliée par quatre en associant de la viande ou un aliment riche en vitamine C aux mêmes repas (Manger pour la Vitalité - 3 étapes faciles pour une alimentation riche en fer. Une brochure fournie par l’Australian Meat and Livestock Corporation, Mars 1996).

 

Alors que la viande et les aliments riches en vitamine C augmentent l'absorption du fer non héminique, le thé, le café et le lait vont réduire l'absorption du fer non héminique et, par conséquent, la plupart des végétariens s'abstiennent (par nécessité) de consommer ces substances ou s'assurent à ne pas les prendre pendant ou à proximité des repas.

 

Il convient de noter que la vitamine B12 est nécessaire à la synthèse des acides nucléiques, le maintien de la myéline dans le système nerveux et au bon fonctionnement de l'acide folique (une autre vitamine B). Les effets les plus graves de carence sont l'anémie pernicieuse et une dégénérescence du système nerveux. La vitamine B12 est fabriquée uniquement par certains micro-organismes et n’est contenue que dans les aliments d'origine animale. Les bonnes sources sont la viande, en particulier le foie, le poisson et les œufs (paraphrasé de The Concise Medical Dictionary, 2e éd., 1985).

 

Une étude récemment publiée de l'Hôpital Adventiste du Septième Jour montre que les végétariens stricts risquent de graves troubles de santé en raison du manque de vitamine B12. L'étude doit être publiée dans son intégralité dans l’American Journal of Clinical Nutrition. L'enquête a été faite sur 245 pasteurs Adventistes du Septième Jour. 200 d'entre eux avaient été végétariens depuis plus de 20 ans. 77% avaient des apports en vitamine B12 inférieurs au minimum requis et le problème était lié à leur régime alimentaire. M. Hokin, directeur du service de pathologie de l'Hôpital Adventiste de Sydney, a déclaré qu’une carence en vitamine B12 pourrait causer de la léthargie, des engourdissements, des picotements dans les extrémités, et finalement l'anémie mégaloblastique ou pernicieuse et une dégénérescence de la moelle épinière (cf. Canberra Times, sam. 12 juillet 1997, p. 5).

 

Les ministres participant à l'étude étaient soit des lacto-ovo-végétariens – qui consomment du lait et des œufs, mais moins d'une portion d’aliments carnés par semaine – soit des végétaliens, qui refusent tous les produits d'origine animale.

 

L'étude montre que l’alimentation, plutôt que la malabsorption ou l’augmentation de l'excrétion, en est la cause principale. M. Hokin a déclaré : "C’est important, car un grand nombre de manuels disent que l’alimentation n'est pas la cause principale, mais beaucoup d'entre eux proviennent des États-Unis, où l'enrichissement des aliments est très répandu".

 

L'Organisation Mondiale de la Santé recommande un apport quotidien minimal en vitamine B12 d’un microgramme par jour. M. Hokin a déclaré qu'il fallait consommer au moins 15 à 20 portions par semaine de produits laitiers, d'œufs et de lait de soja enrichi pour obtenir l'apport minimal d'entretien. Seuls 23% des végétariens dans son étude ont atteint l’apport minimal d’entretien. Les mangeurs de viande prennent 3-9 microgrammes par jour constituant des réserves dans le foie. Les lacto-ovo-végétariens puisent leurs vitamines B12 dans le lait, le yaourt, le fromage et les œufs, mais les végétaliens n’en reçoivent aucune à moins qu'ils ne prennent des suppléments ou mangent des aliments enrichis tels que les viandes de substitution, le lait de soja et des céréales. Dans la pratique, ce n'est pas le cas, même parmi les ministres du culte responsables.

 

Les végétaliens sont les plus exposés, mais les deux classes sont sérieusement menacées. L'effet sur la colonne vertébrale affecte également les yeux, et les problèmes de vue sont endémiques chez les végétariens, notamment au niveau des muscles oculaires et de l’iris. La carence devient en fait visible dans les yeux au fil du temps (voir aussi le document sur Le Végétarisme et la Bible (No. 183) pour la position biblique sur cette pratique).

 

Des études telles que L'étude randomisée d'effets cognitifs d'une supplémentation en fer chez les adolescentes non anémiques souffrant de carence en fer dans le Lancet, Vol. 238, le 12 Octobre 1996 et Les contributions du fer héminique et non héminique à la nutrition humaine dans Critical Reviews in Food Science and Nutrition, 31(4):333-367 (1992), sont des exemples du type de recherches effectuées en nutrition et sont disponibles dans les bibliothèques. Ce sujet est extrêmement complexe et l'espace ne permet pas une analyse en profondeur. Le point est que Dieu nous a fourni les aliments dont nous avons besoin pour maintenir notre santé à un niveau optimal. Les fruits et légumes sont connus pour inhiber le cancer. Les légumes verts contribuent à développer un système nerveux sain. La vitamine A (rétinol) est essentielle à la croissance, à la vision en faible lumière et à l’entretien des tissus muqueux mous. On la trouve préformée dans les aliments d'origine animale, notamment le lait, le jaune d'œuf et le foie. Elle est formée dans l’organisme à partir du pigment de bêta-carotène, présent dans certains aliments végétaux, par exemple le chou, la laitue et les carottes.

 

Le manque de vitamines dans notre alimentation entraîne diverses maladies. Parmi les exemples les plus connus, citons le manque de vitamine C, qui entraîne le scorbut, le manque de toute vitamine B, qui entraîne des maladies telles que le béribéri, l’anémie et la dégénérescence du système nerveux et le manque de vitamine D, qui entraîne le rachitisme.

 

Comme nous l'avons déjà dit, aucun aliment ne contient tous les nutriments dont nous avons besoin, nous devons donc avoir une variété d'aliments aussi grande que possible. Ceux-ci, comme nous le savons tous, comprennent les produits animaux de l'espèce ‘pure’ (y compris les produits laitiers et les œufs), les fruits et légumes, ainsi que les grains et céréales. L'eau doit également être consommée en quantités généreuses. Le bon équilibre de ces aliments, associé à un exercice approprié régulier, le travail, le jeu et le repos, devraient nous assurer une vie équilibrée.

 

Si nous sommes physiquement en forme et en bonne santé, nous contribuons grandement à la santé de notre esprit également. Cependant, nous sommes tous capables de devenir fermés d'esprit, nous avons mis des œillères et refusons d’examiner tout autre argument. Comment pouvons-nous savoir ce qui est vrai si nous ne lisons pas beaucoup et n’analysons pas ce que nous lisons ? De même, pourquoi perdre du temps à lire des documents dont nous savons qu'ils sont faux ? Il semble qu'un certain degré de discrimination s'impose.

 

Un autre sujet de controverse est celui du vin et des alcools de toutes sortes. Là encore, la Bible est claire. L'alcool est autorisé (Deut. 14:26) et même recommandé (1Tim. 5.23). La science médicale affirme que la consommation régulière d'alcool réduit le risque d'infarctus. Comme tout le reste, c'est l'abus de cette substance qui est condamné, tant sur le plan biblique que scientifique. Le document sur Le Vin dans la Bible (No. 188)) fournit une étude approfondie de la position biblique et devrait être lue conjointement avec le présent.

 

Il n'est pas suggéré que la viande et le vin doivent être consommés à chaque repas ou même tous les jours. Cependant, en utilisant toute la merveilleuse variété de fruits, de légumes, de viandes et de plantes que Dieu a mis à notre disposition, nous pouvons profiter de la qualité de vie qui nous est destinée. Il est intéressant de noter les études menées aux États-Unis sur des personnes qui ont vécu plus de 100 ans. Ces gens mangeaient de la viande, buvaient de l'alcool et travaillaient dur. Il semblerait qu'elles aient équilibré leur vie de manière appropriée. Enseigner que c'est mal de boire de l'alcool ou de manger de la viande n’est pas fondé bibliquement et, en fait, condamné par Paul (1Timothée 4:1-5 ; lire aussi les documents La Doctrine de Démons des Derniers Jours (No. 048) et Le Végétarisme et la Bible (No. 183)).

 

Il est important que nous suivions les lois de Dieu dans l'utilisation des aliments qu’Il nous a donnés de la manière la plus équilibrée et la plus joyeuse que nous connaissions dans les limites des connaissances dont nous disposons.

 

Il est évident que nos problèmes de santé ne sont pas toujours résolus par un régime alimentaire et une vie équilibrée, même si cela permet de les minimiser. Il est important que nous demandions des conseils, afin de prendre des décisions en toute connaissance de cause, sur la base de tous les faits disponibles. Après avoir recherché toutes les informations disponibles afin de prendre nos décisions, nous devrions aller vers Dieu dans la prière en cherchant Sa guidance et mettre en œuvre cette décision dans la foi.

 

Le principe de l'équilibre doit être mis en œuvre dans tous les aspects de notre vie – pas seulement en ce qui concerne la nourriture, mais aussi en ce qui concerne la télévision, les livres que nous lisons, le genre de divertissement dont nous jouissons, et la manière dont nous vivons notre vie. Nous devrions considérer la valeur de toutes nos activités et être sûrs que nous équilibrons ces choses avec l’étude de la Bible, la prière et la recherche constante de la volonté de Dieu pour nous, en cherchant d'abord le Royaume de Dieu.

 

Il est écrit : Tu ne suivras point la multitude pour faire le mal (Exode 23:2).

 

Suivre les modes et les tendances générales peut également être une erreur. Une fois encore, il faut trouver un équilibre. Mais l'équilibre se trouve souvent dans la sagesse des conseils.

 

Proverbes 11:14 Quand la prudence fait défaut, le peuple tombe ; et le salut est dans le grand nombre des conseillers. (LSG)

 

Cette sécurité dans le conseil comprend la sécurité dans la santé et dans l'esprit.

 

 

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